La Médicine s’approfondit dans le rapport
esprit-corps et ses consequences, car malgré tous les resources terapeutiques
disponibles dans l’actualité, les gens continuent ayant de la dépression et en
désespoir commetent suicide, à la cherche d’une chose qui leur porte de plus en
plus le bonheur facile et des sensations causées pal l’adrénaline, même que
fugaces.
L’intercession divine dans les proces de
guérison a eut la compagnie d’homme dés son premier moment sur la Terre,
quoique que traitée d’une differente façon par des differentes religions ou
croyance de la planète.
La plupart du peuple le considère encore comme
un miracle une amélioration quelconque qui n’a pas eut une explication basée sur
la cience officielle. La doctrine éspirite explique par moyen de la logique que
des miracles n’éxistent pas, car celá se constituirait une révocation des lois
de Dieu qui nous donne une cause logique à tout, quand même notre ignorance ne
nous permet pas la compréhension du procés dans son intégrité.

Monsieur le Docteur William Harris du Mid America Heart Institute, Saint Luke’s
Hospital, Kansas City, a realisé une étude chez des patients qui ont subi l’infarctus.
Ils furent séparés un deux groupes. Un des groupes a reçu des prières à
distance pendant 4 semaines ; l’autre a reçu du traitement conventionnel. Le
groupe qui a reçu les prières a eut 3 fois moins des complications que le
traditionnel.
La Doctoresse Anne Mc Caffrey de
l’Université de Harvard conduisi en 1998 une étude pour évaluer la religiosité
des personnes dans les États-Unis, où 35% des personnes admettaient l’usage de
la prière comme une manière d’aider dans les maladies. La condition de femme
agée au-dessus de 50 ans augmentait la frequence des prières. Des maladies
telles comme dépression, mal de tête et alergie aussi. Mais seulement 11% des
personnes qui priaient pour ses guérison en parlaient aux médicins.
Le Docteur Michael Monroe de l’Université
de Caroline du Nord a conduit une étude chez 460 médicins et a découvert que
86% d’eux réfusent l’idée de discutir la croyance réligieuse de ses patients, à
moins qu’ils etaient presqu’a la mort.

Il serait assez interessant si les
professionnels de la santé fussent plus accessibles à ce sujet en vennant à
discuter la question dans les consultations.
L’abordage de la religiosité du patient
croît un lien d’appui que la plupart des patients désire avoir. On trouve
rarement dans notre pratique medicale de tous les jours des patients qui se
donnent la peine d’en parler.
Même les évangéliques, les plus souvent
plus radicaux, sont d’accord pour parler sur ce sujet avec tranquilleté quand
l’invitation est faite avec absolu respect pour l’avis d’autrie. En verité les
bases du l’enseignement de Jésus Christ sont presentes dans toutes les
réligions. Ces sont les points les plus importants qui doivent être observés,
et non les divergences parmi les croyances religieuses. Nous proposons cette
abordage qui donne appui pour qu’on ouvre une nouvelle voie de traitement qui a
déjà démontré son efficacité a travers la prière, du changement de pensées et
d’habitudes de vie, etc.
N’esperons pas l’heure de la mort pour
discuter des sujets religieux et de croyance. Dans beaucoup des familes la
simple mention de ces sujets parait creer un mauvais présage, comme s’il fût un
mauvais augure l’abordage des thèmes comme Dieu, prière, spiritualité et
d’autres. Ils ne savent que causer sur les romans de la télévision, les
nouvelles extravagantes, des politiques voleurs, des jeux de match en cachant ses
vrais problémes, en dissipant des moments d’une conversation agreable et
terapeutique. Plusiers groupes de térapie font l’usage de cette technique où
chaqu’un se manifeste en posant ses points de vue, ses difficultés, comment il
s’est amelioré, comment il s’est empiré, et c’est comme ça que les personnes suivent
leur apprentissage pour se devenir plus fortes. Dans le rapport médecin-patient
peut-on faire la même chose. Et aussi dans notre vie de tous les jours.
Le médicin peut, et encore
doit, prescrire la prière,
comme moyen de traitement. Sans fanatisme ni radicalisme dépourvus de sens qui
veulent interrompre la médication et ainsi de suite. Nous sommes l’ésprit qui
habite dans un corps physique. Traitons-les.

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Sérgio Vencio
Traduction: Cleone Rois Teodoro
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