mercredi 20 février 2013

épilepsie - Ricardo Di Bernardi

 Des questions posées par les patients :

1)J’ai vingt-neuf ans et j’ai toujours mené une vie normale, mais depuis 4 ans j’ai eu des crises convulsives, mais l’épilepsie n’a pas été constatée par aucun examen (des électroencéphalogrammes répetés, chartographie cérébrale, résonance magnétique, etc.). J’ai déjà pris du gardenal, depakote et maintenant je prends topiramate 150 mg mais des crises continuent à se passer, je ne sais plus quoi faire. Pouvez vous m’aider ?

2)Dr. Ricardo, quelles sont les causes de l’épilepsie ? Est ce que l’épilepsie est intimément liée à la médiumnité ? On dit populairement q’un épileptique est un « grand medium » presque toujours psichophonic (dit populairement d’incorporation) et qu’il a besoin de développer sa mediumnité pour mieux se sentir. Est-ce vrai ?

Vous devez tout d’abord, continuer à tenter, avec un bon neurologiste, des alternatives médicamenteuses. Il y a aussi des cas de convulsions épileptiformes qui ne sont pas d’origine exclusivement neurologique, c’est à dire, ils sont causés par d’autres dysfonctions organiques soient aussi métaboliques, hormonales, neoplasiques, et encore d’autres, qui peuvent être la cause de la convulsion du type épileptique, mais sans que la dysrythmie cérébrale en soit la cause primaire. Un excellent professionnel de clinique, spécialiste en Médecine Interne, (ce n’est pas la même chose que Clinique Général) peut procéder à cette investigation. L’épilepsie existe à plusieurs degrés et types.  Il y a des épilepsies assez legères comme des lapsus de conscience qui sont appellés crises « d’absence » et même des convulsions violentes. Celle qui est le plus souvent commentée se caractérise par crises ou attaques des spasmes musculaires de contraction et de mouvements incontrolables avec perte concomitante de conscience.  Due à sa manifestation spectaculaire, externe, depuis les époques lointaines elle épouvantait tout le monde en étant attribuée aux agents démoniaques et misterieux ou à l’influence lunaire d’où vient l’expression lunatique.

L’un des pères de la médecine, Hippocrate luttait pour dettacher la rélation de cette enfermité avec le « sacré ». Dans certains endroits, il y a encore aujourd’hui cette tendance. Souvent la personne qui est en train d’avoir une crise convulsive épileptique s’aperçoit de l’arrivée de la crise par les symptômes. Certains sentent une chaleur legère enveloppante ou une typique sensation visuelle, olfactive, auditive, gustative, tactile ou douloureuse, communément sur l’abdomen. On peut la détecter dans l’EEG – électroencéphalogramme – une dysfonction ou dysrythmie cérébrale, c’est à dire, un changement du rythme des ondes emises par le cerveau. Néanmoins, dans certains cas ces changements dysrythmiques ne sont pas détectés.   

Dans toutes nos pathologies ou problèmes humains il y a la participation spirituelle, à degrés divers. Dans l’épilepsie ou dans les appellés « attaques », une connexion peut se produire entre le malade et l’obsesseur, et il peut avoir lieu une vraie «incorporation» ou une transe médiumnique.  Il y a toujours une fragilité organique cérébrale, motivée par le changement du modèle biologique d’organisation (périsprit) qui amene des lésions acquises dans les vies passées. Des lésions qui ont des diverses origines. Dans les cas dits de « petit mal » ou crises d’absence la presence des esprits obsesseurs n’est pas commune. Dans les cas des crises convulsives graves, il y a aussi des lésions périspirituelles dont l’origine est le progrès historique du patient mais la frequente (non pas toujours) association de l’obsesseur desincarné. L’action de l’obsesseur prend lieu dans le dénominé « locus minoris resistentiae », c’est à dire, à la place de la moindre résistance de l’obsedée, chez cette personne, dans le cerveau... Beaucoup de fois la connexion de l’obsesseur avec la « victime » se produit chez les chakras gastrique, splénique, génésique, mais la répercussion atteint intensément le point faible de l’obsédé qui est la région cérébrale fragilisée. Dans certains cas, le choc du contact des énergies de le sprit désincarné avec l’obsédé (médium ?) peut être un facteur déterminant pour le procès convulsif. La convulsion même peut donner cause a une forte convulsion chez l’esprit en l’amenant à se éloigner.

Il y a des cas dans lesquels l’individu dit épileptique ne présent rien dans les examens de l’EEG, toutefois il a des symptômes. L’interférence continue de l’obsesseur sur la personne sensible dans cette aire pouvra occasionner des lésions au fil des années. C’est qui se passe c’est que le périsprit ou corps astral a son paracerveau lésioné, mais il n’a pas encore transféré cette lésion au corps biologique. Le traitement concomitant médicale et spirituel pouvra empêcher que la lésion s’installe dans le corps biologique.  En termes techniques, médicaux,  on appelle « l’aura épileptique » (il y a d’autres désignations) à l’ensemble des phénomènes ou sensations qui précèdent la crise convulsive. Voilà ces sensations : la perception ou l’hallucination de couleurs, visions, des ombres, des bruits, des voix, des odeurs, sensation de chaleur sur le visage, un goût amer dans la bouche et d’autres. Curieusément il s’agit des similaires sensations dont les médiums ont avant de la connexion avec l’esprit communicant dans la session de désobsession. Également la douleur dont certains médiums ressentent dans le creux de l’estomac pendant la liaison avec le chakra basique. Ces sensations de « l’AURA ÉPILEPTIQUE » en cas de crise convulsive peuvent s’écouler de l’imprégnation des énergies (fluides) de l’obsesseur à l’obsedé.

Racommandation importante: en complément du traitement neurologique l’higiene mentale ou l’entretien des pensées optimistes, fraternelles, et similaires constituent de l’aide au traitement. Pensées de rage, de haine, d’envie, de ressentiment, et d’autres de basse fréquence, favorisent les crises par syntonie avec l’obsesseur. Avant de développer sa médiumnité, le patient doit se spiritualiser et ensuite étudier la doctrine spirite et enfin considérer l’action comme médium. Le traitement (médicale + spirituel) peut contrôler des crises et empêcher la fixation de l’entité malade dans le cerveau du patient.  

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Ricardo Di Bernardi
Traduction: Cleone Rois Teodoro

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