1)J’ai vingt-neuf ans et j’ai toujours mené une vie normale, mais depuis 4
ans j’ai eu des crises convulsives, mais l’épilepsie n’a pas été constatée par
aucun examen (des électroencéphalogrammes répetés, chartographie cérébrale,
résonance magnétique, etc.). J’ai déjà pris du gardenal, depakote et maintenant
je prends topiramate 150 mg mais des crises continuent à se passer, je ne sais
plus quoi faire. Pouvez vous m’aider ?

Vous devez tout d’abord, continuer à tenter, avec un bon neurologiste, des
alternatives médicamenteuses. Il y a aussi des cas de convulsions
épileptiformes qui ne sont pas d’origine exclusivement neurologique, c’est à
dire, ils sont causés par d’autres dysfonctions organiques soient aussi
métaboliques, hormonales, neoplasiques, et encore d’autres, qui peuvent être la
cause de la convulsion du type épileptique, mais sans que la dysrythmie
cérébrale en soit la cause primaire. Un excellent professionnel de clinique,
spécialiste en Médecine Interne, (ce n’est pas la même chose que Clinique
Général) peut procéder à cette investigation. L’épilepsie existe à plusieurs
degrés et types. Il y a des épilepsies
assez legères comme des lapsus de conscience qui sont appellés crises
« d’absence » et même des convulsions violentes. Celle qui est le
plus souvent commentée se caractérise par crises ou attaques des spasmes
musculaires de contraction et de mouvements incontrolables avec perte
concomitante de conscience. Due à sa
manifestation spectaculaire, externe, depuis les époques lointaines elle
épouvantait tout le monde en étant attribuée aux agents démoniaques et
misterieux ou à l’influence lunaire d’où vient l’expression lunatique.
L’un des pères de la médecine, Hippocrate luttait pour dettacher la
rélation de cette enfermité avec le « sacré ». Dans certains
endroits, il y a encore aujourd’hui cette tendance. Souvent la personne qui est
en train d’avoir une crise convulsive épileptique s’aperçoit de l’arrivée de la
crise par les symptômes. Certains sentent une chaleur legère enveloppante ou
une typique sensation visuelle, olfactive, auditive, gustative, tactile ou
douloureuse, communément sur l’abdomen. On peut la détecter dans l’EEG –
électroencéphalogramme – une dysfonction ou dysrythmie cérébrale, c’est à dire,
un changement du rythme des ondes emises par le cerveau. Néanmoins, dans
certains cas ces changements dysrythmiques ne sont pas détectés.
Dans toutes nos pathologies ou problèmes humains il y a la participation
spirituelle, à degrés divers. Dans l’épilepsie ou dans les appellés
« attaques », une connexion peut se produire entre le malade et
l’obsesseur, et il peut avoir lieu une vraie «incorporation» ou une transe
médiumnique. Il y a toujours une
fragilité organique cérébrale, motivée par le changement du modèle biologique
d’organisation (périsprit) qui amene des lésions acquises dans les vies
passées. Des lésions qui ont des diverses origines. Dans les cas dits de
« petit mal » ou crises d’absence la presence des esprits obsesseurs
n’est pas commune. Dans les cas des crises convulsives graves, il y a aussi des
lésions périspirituelles dont l’origine est le progrès historique du patient
mais la frequente (non pas toujours) association de l’obsesseur desincarné.
L’action de l’obsesseur prend lieu dans le dénominé « locus minoris
resistentiae », c’est à dire, à la place de la moindre résistance de
l’obsedée, chez cette personne, dans le cerveau... Beaucoup de fois la
connexion de l’obsesseur avec la « victime » se produit chez les
chakras gastrique, splénique, génésique, mais la répercussion atteint
intensément le point faible de l’obsédé qui est la région cérébrale fragilisée.
Dans certains cas, le choc du contact des énergies de le sprit désincarné avec
l’obsédé (médium ?) peut être un facteur déterminant pour le procès
convulsif. La convulsion même peut donner cause a une forte convulsion chez l’esprit
en l’amenant à se éloigner.

Racommandation importante: en complément du traitement neurologique l’higiene
mentale ou l’entretien des pensées optimistes, fraternelles, et similaires constituent
de l’aide au traitement. Pensées de rage, de haine, d’envie, de ressentiment,
et d’autres de basse fréquence, favorisent les crises par syntonie avec
l’obsesseur. Avant de développer sa médiumnité, le patient doit se
spiritualiser et ensuite étudier la doctrine spirite et enfin considérer
l’action comme médium. Le traitement (médicale + spirituel) peut contrôler des
crises et empêcher la fixation de l’entité malade dans le cerveau du
patient.
Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Ricardo Di Bernardi
Traduction: Cleone Rois Teodoro
Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Ricardo Di Bernardi
Traduction: Cleone Rois Teodoro
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