Est-que le
médicin doit-il prescrire une prière comme moyen de traitement ?
La Médicine s’approfondit dans le rapport
esprit-corps et ses consequences, car malgré tous les resources terapeutiques
disponibles dans l’actualité, les gens continuent ayant de la dépression et en
désespoir commetent suicide, à la cherche d’une chose qui leur porte de plus en
plus le bonheur facile et des sensations causées pal l’adrénaline, même que
fugaces.
L’intercession divine dans les proces de
guérison a eut la compagnie d’homme dés son premier moment sur la Terre,
quoique que traitée d’une differente façon par des differentes religions ou
croyance de la planète.
La plupart du peuple le considère encore comme
un miracle une amélioration quelconque qui n’a pas eut une explication basée sur
la cience officielle. La doctrine éspirite explique par moyen de la logique que
des miracles n’éxistent pas, car celá se constituirait une révocation des lois
de Dieu qui nous donne une cause logique à tout, quand même notre ignorance ne
nous permet pas la compréhension du procés dans son intégrité.
Des milliers de scientistes dans le monde
entier s’attachent à la récherche sur l’influence de la réligiosité, de la
prière, de la croyance dans la santé humaine. En fayant une simple récherche
dans le google http://scholar.google.com à travers des mots en anglais pray and health (prière et santé) on a
obtenu 32.000 articles scientifiques. Quand on fait la même cherche dans le
google brésilien http://www.google.com.br avec les mots oração
e saúde, on trouve 821.000 références. La plupart de celles-lá n’est pas évidemment
une production scientifique comme dans le cas cité ci-dessus, toutefois il nous
démontre l’importance que le sujet mérite et la cherche de toute la societé qui
désire des plus simples metodes de guérison au bon marché, qui soient plus
selon la nature en nous portant la guérison de l’âme.
Monsieur le Docteur William Harris du Mid America Heart Institute, Saint Luke’s
Hospital, Kansas City, a realisé une étude chez des patients qui ont subi l’infarctus.
Ils furent séparés un deux groupes. Un des groupes a reçu des prières à
distance pendant 4 semaines ; l’autre a reçu du traitement conventionnel. Le
groupe qui a reçu les prières a eut 3 fois moins des complications que le
traditionnel.
La Doctoresse Anne Mc Caffrey de
l’Université de Harvard conduisi en 1998 une étude pour évaluer la religiosité
des personnes dans les États-Unis, où 35% des personnes admettaient l’usage de
la prière comme une manière d’aider dans les maladies. La condition de femme
agée au-dessus de 50 ans augmentait la frequence des prières. Des maladies
telles comme dépression, mal de tête et alergie aussi. Mais seulement 11% des
personnes qui priaient pour ses guérison en parlaient aux médicins.
Le Docteur Michael Monroe de l’Université
de Caroline du Nord a conduit une étude chez 460 médicins et a découvert que
86% d’eux réfusent l’idée de discutir la croyance réligieuse de ses patients, à
moins qu’ils etaient presqu’a la mort.
Il a des articles qui ne montrent pas aucune
difference entre recevoir et ne pas recevoir des prières dans le proces de
guérison des patients.
Il serait assez interessant si les
professionnels de la santé fussent plus accessibles à ce sujet en vennant à
discuter la question dans les consultations.
L’abordage de la religiosité du patient
croît un lien d’appui que la plupart des patients désire avoir. On trouve
rarement dans notre pratique medicale de tous les jours des patients qui se
donnent la peine d’en parler.
Même les évangéliques, les plus souvent
plus radicaux, sont d’accord pour parler sur ce sujet avec tranquilleté quand
l’invitation est faite avec absolu respect pour l’avis d’autrie. En verité les
bases du l’enseignement de Jésus Christ sont presentes dans toutes les
réligions. Ces sont les points les plus importants qui doivent être observés,
et non les divergences parmi les croyances religieuses. Nous proposons cette
abordage qui donne appui pour qu’on ouvre une nouvelle voie de traitement qui a
déjà démontré son efficacité a travers la prière, du changement de pensées et
d’habitudes de vie, etc.
N’esperons pas l’heure de la mort pour
discuter des sujets religieux et de croyance. Dans beaucoup des familes la
simple mention de ces sujets parait creer un mauvais présage, comme s’il fût un
mauvais augure l’abordage des thèmes comme Dieu, prière, spiritualité et
d’autres. Ils ne savent que causer sur les romans de la télévision, les
nouvelles extravagantes, des politiques voleurs, des jeux de match en cachant ses
vrais problémes, en dissipant des moments d’une conversation agreable et
terapeutique. Plusiers groupes de térapie font l’usage de cette technique où
chaqu’un se manifeste en posant ses points de vue, ses difficultés, comment il
s’est amelioré, comment il s’est empiré, et c’est comme ça que les personnes suivent
leur apprentissage pour se devenir plus fortes. Dans le rapport médecin-patient
peut-on faire la même chose. Et aussi dans notre vie de tous les jours.
Le médicin peut, et encore
doit, prescrire la prière,
comme moyen de traitement. Sans fanatisme ni radicalisme dépourvus de sens qui
veulent interrompre la médication et ainsi de suite. Nous sommes l’ésprit qui
habite dans un corps physique. Traitons-les.
Ne soyons pas des espirites que dans le
centre, ne soyons pas des catholiques ou des protestants que dans les églises. Il
est salutaire que nous vivons notre religiosité continuement, sans prosélitisme
pour endoctriner tout le monde, mais d’une façon individuelle. Quand on ferme
les yeux et respire à fond en rémerçant à Dieu pour le fait de que nous sommes
ici avec cette opportunité à la main ça peut être la meilleure prière de toute
la vie, sans le besoin de chaire, de discours, de temples, car le vrai temple
est au dedans ; c’est lá qu’on doit edifier le si rennomé temple de Dieu.
Un rapport inteligent et rationel entre notre santé physique et notre santé
spirituelle est, sans doute, le chemin plus rapide de la vraie guérison, la
guérison intégrale du l’être.
Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Sérgio Vencio
Traduction: Cleone Rois Teodoro