dimanche 24 mars 2013

L’homéopathie, ce qu'elle est et comment il fonctionne? - Dr Ricardo di Bernardi

L’homéopathie est une thérapie en premier lieu décrite et organisée par un médecin, chimiste et chercheur allemand, Samuel Hahnemann (1755-1843). Il avait découvert aprés beaucoup d’années de récherche que les maladies semblables sont guéries par des maladies semblables. Actuellement, aprés avoir parcouru une longue trajectoire exposée à doutes et préjugé, l’homéopathie est déjà réconnue par le Ministério da Saúde comme une pratique integrative du Sistema Único de Saúde dépuis 2006, et peu à peu continue à gagner des adeptes.
Chez une clinique privée à Florianópolis et chez Clinipar, Dr. Ricardo Di Bernardi, médecin généraliste homéopathe et Thérapeutique Régressive dans les Vies Passées – TRVP – complete la thorie de Hahnemann en disant que : le semblable guére le semblable.
Di Bernardi a donné une interview chez Saúde em Foco, en éclairant les principales doutes envers l’homéopathie, aussi dans le traitement des adultes qu’au des enfants ; vérifiez les points principaux de l’interview ici-bas :
Marilei – Que signifie exactement ce principe de l’homéopathie : les maladies semblables guérent des maladies semblables ?
Dr. Ricardo – En réalité on fait l’usage de la dénomination suivante : Le semblable est guéri par le semblable ; par example, suposons que le remède homéopathique dont on fait l’usage chez les enfants et les adultes, arsenicum album qui devient un venin mortel quand ingéré pur, car il manifeste les symptômes suivants, intense pâleur, manque de l’air, anxiété, angoisse, intense sudorèse, crise d’asthme et même l’arrêt respiratoire. Toutefois, cet arsenicum album même, quand on l’administre comme arsenicum homéopathique, sert à traiter et guérir un patient qui ait les symptômes antérieurement cités, en fonction de sa ressemblance. L’arsenicum album homéopathique est en verité la dilution de l’arsenicum chimique, par de milliers de fois dans l’eau, et alors l’eau passe l’énergie de l’arsenicum, mais elle ne possède pas sa chimie et ainsi elle fournit sa stimulation au moyen d’une action semblable à la défense organique, à un changement de l’organisme, en même temps qu’elle traite la maladie.

Marilei – À partir de ce principe, il y a beaucoup de doutes quant à l’éficacité de l’homéopathie dues aux milliers de dilutions dans l’eau, comment expliquez-vous l’éficacité du médicament, même quand il a été dilué tant de fois ?
Dr. Ricardo – Plus de dilution plus de puissance dans l’homéopathie, au contraire du médicament commun qui dans ces cas perd l’éffet, dans l’homéopathie une telle dilution augmente l’effet parce qu’il n’y a pas aucune action chimique chez le médicament, il n’agit pas biochimiquement, il agit par fréquence d’énergie, l’action se fait chez le corps énergétique, dans l’autre dimension, alors par exemple, l’arsenicum amene une fréquence d’énergie par moyen de l’eau qui constitue le seul véhicule de l’énergie, chez notre corps énergétique, appelé fluide vitale qui agit énergétiquement, la conséquence paraît chez le corps physique et mental.

Marilei – Quels sont les types de produits utilisés dans la composition des médicaments homéopathiques ?
Dr. Ricardo – On fait l’usage de médicaments végétaux comme pulsatilla, lycopodium, arnica. On fait encore l’usage de médicaments minéraux comme l’arsenicum album qu’on a cité tout à l’heure et on fait aussi l’usage de l’or, appelé aurum, de la platine comme ferrum mais non celui chimique, mais ce qu’est dilué, bien ainsi les médicaments extraits des animaux, comme bufagine du crapaud, lachesis trigone sefulus, d’une serpent à la tête triangulaire ; il y a aussi des remèdes d’araignées, de scorpions, de serpents, des blattes spécifiques, c’est à dire de trois royaumes. L’homéopathie ne constitue pas un traitement à base de plantes, et n’est-elle un thé, quoiqu’aussi tres bon, les traitements avec thés sont phytothérapeutique et non homéopathique.

Marilei – Quels sont les avantages et les inconvénients de l’homéopathie ?
Dr. Ricardo –D’abord des avantages : Les médicaments ont tendance à être plus accessibles, moins chers ; ils n’ont pas des effets secondaires parce qu’ils n’agissent pas dans la sphère chimique, les effets secondaires dans l’homéopathie sont presque inexistants, au contraire des remèdes traditionnels  (alopathiques) qui même dans les doses correctes peuvent avoir des effets secondaires. En outre, l’homéopathie agit sur la cause et non dans la périphérie, entre deux patients qui souffrent d’asthme, on ne va pas traiter leur asthme seulement chez la sphère organique, on la doit traiter au plan psychique, parce qu’il nous importe maintenant si l’asthme a son origine à partir  d’une attitude émotionnelle. Il faut identifier ces caractéristiques qui déclenchent des crises d’asthme, et vérifier si le patient a peur, angoisse, indignation, irritation, anxiété, et si ces caractéristiques son celles qui déclenchent  l’asthme, et selon ces caracteristiques le médicament se change et peut varier d’une personne à l’autre, et alors on va chercher l’homeopathie pour s’équilibrer, à faire cesser ou adoucir les crises. Quant aux inconvénients, je ne les connaie pas, mais pour ne défendre mon propre intérêt, considerons une personne qui traite seulement par l’homéopathie, de façon radicale. On risque de ne pas traiter une maladie quelleconque, par exemple, je suis médecin homéopathe, mais si mon patient souffre de méningite, je lui dois traiter avec une injection, avec des antibiotiques, même dans la veine, même si le patient veut seulement l’homéopathie. On doit traiter avec des antibiotiques ou on doit changer de médecin, parce que dans le cas contraire le décès ou une lésion définitive peuvent arriver ; l’usage de l’homéopathie doit être fait avec prudence et dans son propre moment, l’inconvenient serait l’utilisation de l’homeopathie d’une manière inadéquate, sans bon sens.

Marilei – Quels sont les types des maladies traitées par l’homéopathie ?
Dr. Ricardo – Les maladies les plus souvent traitées sont celles d’origine émotionnelle : anxiété, stress et aussi celles allergiques comme rhinite et encore les asthmes, migraine, gastrite, bronchite, toutes celles répetitives qui vont et viennent ensuite ; avec l’homéopathie le résultat est beaucoup plus éfficace et rapide, mais non durant la crise, en ce moment je donne du médicament analgésique contre la douleur, mais si l’on voit traiter la migraine pour le reste de la vie, j’utilise l’homéopathie, et les crises seront de moins en moins jusqu’à disparaître. En tous cas de maladies on peut utiliser l’homéopathie pour aider dans le traitement conventionnel ; je déjà eu des patients porteurs de SIDA et de cancer, alors j’ai les orienté à continuer le traitement avec l’infectologue ou l’oncologue ; j’ai les dit ensuite que je les aiderais avec le traitement homéopathique, et certes on peut les donner bien d’aide.  

Marilei – L’homéopathie peut beaucoup aider dans l’amélioration de l’imunité, n’est-ce pas ?
Dr. Ricardo – Oui, en effet, c’est vrai.

Marilei – Est-ce que seulement des médecins peuvent-ils devenir homéopathe ? Comment savoir si celui que nous consultons est-il un professionnel qualifié ?
Dr. Ricardo – La seule manière d’en savoir c’est la connaissance s’il s’agit ou non d’un médecin parce que dès 1990,  l’homéopathie est reconnue comme une spécialité médicale, par le Conselho Federal de Medicina et par le Conselho Estadual de Medicina. L’homéopathie ne peut être exercé que par des médecins.

Marilei – Quand on subit un traitement homéopathique pour un cas determiné peut on prendre des remèdes d’un cas sans rapport avec celui-ci du traitement par l’homéopathie?
Dr. Ricardo – Oui, sans doute.

Marilei – Peut on subir un traitement allopathe le long du traitement homéopathe?
Dr. Ricardo – Oui, c’est possible, on doit leur appuyer; des patients qui ont des problèmes dans la thyroïde, on leur traite parallèlement au médecin allopathe.

Marilei – Dans ce cas, y a-t-il besoin d’informer au médecin allopathe?
Dr. Ricardo – Pas nécessairement, mais si on le désire, oui, parce que l’homéopathie n’interférera pas dans le traitement allopathe.

Marilei – Qu’est-ce que l’homéopathie? Un traitement curatif ou préventif, ou les deux?
Dr. Ricardo – Tous deux.

Marilei – Le traitement par l’homéopathie est-il plus long que le traitement de remédes conventionnels?
Dr. Ricardo – Une dame d’entre mes clients, qui souffrait de migraine, déjà un peu agée, s’est traitée depuis trente ans avec un excellent neurologiste.  Elle m’a cherché pour traiter par l’homéopathie. On a commencé l’anamnese (l’investigation de son cas) en observant son tempérament, des rapports dans la famille, ses peurs, des rêves qu’elle avait pendant la nuit, les sensibilités, pour caractériser la fréquence de son énergie, et j’ai prescrit les médicaments. J’ai dit à elle de venir régulièrement pour la surveillance du traitement , chaque mois d’abord, ensuite tous les deux mois, et alors tous les trois mois. Elle me demanda: combien de temps durera ce traitetment? J’ai repondu de 2 à 3 ans plus ou moins. Elle dit: Ah ! Dr. Ricardo l’homéopathie est très lente, n’est ce pas? J’ai demandé à la dame: conbien de temps êtes vous en traitement avec votre neurologiste? 30 ans, c’est vraie.  J’ai dit à elle alors 3 ans ce n’est pas beaucoup, n’est ce pas? Alors en verité les gens répetent, par l’habitude, c’est à dire, ce n’est pas la realité.

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Ricardo Di Bernardi
Traduction: Cleone Rois Teodoro



Dr Ricardo Di Bernardi est un pédiatre et homéopathe. Il est président de l'Institut de la culture spiritualiste de Santa Catarina à Florianópolis, au Brésil. Il est un conférencier international avec plusieurs livres publiés.
Instituto de Cultura Espirita DE FLORIANÓPOLIS www.icefaovivo.com.br
Email - rhdb11@terra.com.br

jeudi 14 mars 2013

De la mort prématurée – l’entendre pour l’accepter.

 Dans la pratique médicale quotidienne le thème qui nous frappe le plus est probablement celui de la mort prématurée. Confronter tous le jours avec des pacients au-delà de l’âge de quatre-vingt qui présentent des problèmes chroniques de santé et qui sont dans le chemin de la désincarnation, nous paraît comme quelque chose absolument physiologique, même grande la douleur de la famille au moment de prendre congé. Toutefois, quand il s’agit de la désincarnation d’un enfant, des adolescents ou d’un jeune adulte qui partent pour le plan spirituel avant de leurs parents, la rationalité que le spiritisme nous porte ne peut pas toujours être suffisante à soulager l’âme de  ceux qui restent.  

Le terme “mort prématurée” n’est pas peut-être convenable, car nous ne pouvons pas penser à une spiritualité superieure où les choses soient faites à l’improviste. Evidement nous nous référons ici à la prématurité du point de vue physique, c’est à dire, désincarnation d’un jeune et non désincarnation avant du temps programmé.

Jésus fut un exemple de mort prématurée en désincarnant avant de sa mère. Mais durant son apostolat il a donné des marques de savoir préalablement ce qui viendra à se passer. Matthieu 26, Jean 2 :19. En effet, ce fait a été plusieurs fois rapporté dans l’Ancien Testament, spécialement par  Ésaïe. Cette conaissance préalable ne l’a pas empêché de mener à la fin sa mission, car il a souvent affirmé que la realisation de la volonté du Père était ce qui l’intéressait le plus.

Quant aux parents qui regardent la mort du fils comme la fin de tout, la souffrance semble même n’avoir aucune fin, cependant autre chemin, avec plus d’amour et de la paix interieure peut exister. L’entendement du mécanisme dont les maladies arrivent est fundamental à la libération de la tristesse imense qui envahit la vie de la famille.

Tant qu’il y aura la croyance de que Dieu l’a voulu comme s’il y avait un Seigneur de barbe grise assis à la table en pressant des boutons colorés pour choisir qui va et qui reste, pour faire distribuer des bénéfices et des concessions, des châtiments et des punitions, on ne réussira pas l’avancement. La même idée atavique du bénéfice pour ce qui est bon et du châtiment pour ce qui est mal n’apaise pas la doute ni l’incertitude. Parce que, si l’on le regarde avec soin, qui d’entre nous peut être classé comme développé ou inferieur ? Tous sans exception ont des qualités et des défauts. Comment pourrait Dieu choisir ?

Comment expliquer qu’un enfant à l’âge de 2 ans, qui n’a pas eu du temps à faire des bonnes ni des mauvaises choses ait eu un cancer avec métastases et meurt aprés six mois de traitement ? Une punition pour les parents ? Rançon karmique de la famille ? Croire  à cette hypothèse équivaut à réduire Dieu à un tyran plein de déspotisme qui châtie l’innocent pour punir les parents. Quelle est cette sorte d’amour ? Car Jean l’Évangiliste nous a defini Dieu par l’unique forme que nous lui pouvons comprendre. « Dieu c’est l’amour ».

Il y a une seule réponse. Chacun répond par les acts pratiqués dans d’autres vies en rachetant par l’amour les dettes du passé et en marchant à pas de plus en plus solides vers notre Père. Il n’y a aucune punition, seulement l’oportunité. Il n’y a aucune fin ; il y a la continuité de la vie, d’une vie pleine, vie spirituelle. Il est beaucoup plus logique qu’on pense que si dans une autre vie, l’on a nui son corps spirituel par des actitudes et des vices, dans cette vie d’aujourd’hui on peut nettoyer son corps spirituel en drainant vers la chair, vers le corps physique ce qui a causé du mal.

Si l’on a épreuvé cette situation, la première chose à faire est s’arrêter de se questioner si l’on a fait du tort. Tout se déroule correctement. Tous est correct. Jésus disait que celui-là qui voulait lui suivre doivrait prendre sa croix et venir. Bien, ce moment est arrivé. C’est l’oportunité de montrer à Jésus qu’on a appris la leçon. On doit croire que son fils, son parent, son ami qui est désincarné continue plus vif que jamais, et assurément plus heureux, parce qu’il a drainé vers son corps physique une chose quelconque qui l’empêchait de croître. Regardez la leçon, elle est claire, Dieu n’a pas puni personne, c’était un récouvrement automatique imposé par des engagements du passé. Il n’y a eu aucun châtiment, seulement la libération.

Dans le processus de libération et d’entendement qui arrive aprés la mort prématurée, le premier item c’est ne pas aller contre vents et marées. Pourquoi ramer contre le courant du fleuve ? Ne désespèrez pas comme si la vie était finie. On doit accepter des limitations, on peut pleurer mais sans désespoir. Allez chercher de l’aide. Ouvrez le coeur à ceux qui sont alentour, consultez un psychologue, des réunions de thérapie de groupe et laissez la blessure cicatriser peu à peu. Et au-dessus de tout, on ne doit pas en faire une excuse pour ne vivre plus. Vous n’avez pas besoin de vous tuer peu à peu pour dire à la personne aimée qui est maintenant désincarnée « je t’aime tant que moi aussi je vais mourir ». Cela s’appelle suicide, non l’amour.  

Confiez et livrez-vous à les mains de notre Pére d’amour car il nous accueille et nous soulage. Souvenez-vous que le meilleur remède pour nos douleurs c’est soulager la douleur de votre prochain. Rendez votre sentiment de douleur dans quelque chose de sublime comme l’aide aux nécessiteux. En faveur de celui qui est désincarné le premier et de sa propre évolution spirituelle, transmuez ce sentiment et rendez-vous un moissonneur de Christ. Un jour viendra où on sera capable de regarder le passé pour entendre tout ce que la vie a voulu enseigner avec ce fait.

Paix et Lumière !

jeudi 7 mars 2013

L’insomnie - une approche spirituelle



Il est de plus en plus fréquent qu’on écoute dans le bureau la phrase suivante : Docteur, prescrivez-moi un médicament à dormir ! Quelques-uns exigent la prescription même de certains médicaments, car ils ont déjà expérimenté tous et ils savent que dans leur cas, certains fonctionnent mieux.

On vit dans l‘époque de pilules miraculeuses. On achète des miracles en capsules tous les jours, le ciel est la limite. Luther aurait qu’incarner de nouveau pour lancer une Contre Réforme ! Laissons que la science officielle traite de l’insomnie, mais il serait intéressant d’aborder quelques aspects du sommeil au point de vue spiritualiste.

Allan Kardec nous a dit dans son Livre des Esprits, dans le chapitre qui parle de l’émancipation de l’âme, que l’esprit n’est jamais inactif, il profite des heures du sommeil pour maintenir le rapport directement avec le plan spirituel, en entrant en contact avec les esprits incarnés et désincarnés, en visite à des endroits bons et mauvais, selon son évolution, selon ce qui sa propre énergie permet. Ça sert à expliquer le motif dont on peut s’éveiller complètement reposé et inspiré, mais d’autres jours on s’eveille plus fatigué que lorsque l’on est allé au lit.

Il n’est pas rare, durant les traitements dans le centre spirite qu’on remarque que quelques personnes simplement non réussent pas à dormir parce qu’elles conduisent leur maisons pleines d’esprits désincarnés qui pour une raison quelconque veulent nuiser cette famille, car c’est la loi qu’on récolte aujourd’hui ce qu’on a semé hier. On voit aussi que l’une des causes fréquentes d’insomnie c’est l’éveil à la mediumnité. Pendant l’engourdissement naturel du sommeil, lorsque l’esprit commence à se détacher du corps physique, comme il fait toutes les nuits, ces médiuns novices commencent à voir l’environnement spirituel chez eux. Alors pour peur de l’inconnu, ils se réfusent de dormir et ainsi causent d’énormes problèmes à l’economie physique, et néanmoins, il serait très facil d’étudier et comprendre le processus médiumnique, pour se libérer de peurs infondées, basées sur la superstition.

Quand nous imaginons notre nuit de sommeil comme un voyage qui doit être entreprise, facilement nous comprendrerons que quelques-uns simplement sabottent eux-mêmes leur sommeil. Un voyage quelconque exige un minimum de préparation. On vérifie le meilleur chemin, les vêtements à porter, l’argent, l’endroit où on va rester, etc..., mais la pluspart de nous ne réussit pas ni même à faire une prière avant de dormir. Pour quelques-uns il n’y a pas un meilleur antidote à l’insomnie qu’entamer une prière ou une lecture édifiante. C’est fatal. On commence à peine et s’endort.

On se prépare pour aller au lit, mais plein des problèmes, en portant une énormité de situations mal résolues, et cependant, on veut que la nuit soit tranquille.  Jésus nous dit que lá où est notre trésor, lá aussi sera notre coeur. Comment espérer des nuits tranquilles, accompagnées de l’ange gardien, notre mentor spirituel, lorsque la journée a été passée d’une manière agitée, anxieuse, turbulent ? Certes l’esprit sera auprés de ceux et des choses auxquelles s’adresse le sentiment.

Laissons d’être des chrétiens de temples qui se préocupent avec Jésus seulement lorsqu’ils sont dans la maison religieuse, ainsi, certes on aura des nuits tranquilles, d’un sommeil réparateur. Quand on peut ainsi réfléchir on arrive à la conclusion qu’on va au lit avec son pire énnemi, lui-même.

Les livres de Divaldo Pereira Franco nous rapportent des nombreuses cas d’ouvriers du bien, incarnés, qui profitent de leur nuits de sommeil à la continuation des travaux d’aide spirituelle entamé durant la journée. Combien des bénefices récoltent ces ouvriers en profitant chaque minute à leur évolution. Chaqu’un rencontre ce qu’il cherche. Celui qui a passé toute la journée en accumulant de la rage, de la mésintelligence et du stress, certes n’aura pas une nuit pareille à cette d’autrui qui tente de vivre en paix avec soi-même, en exerçant son spiritualité d’une manière sûre.

Pensons-y bien. Paix et lumière à tous !

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Sérgio Vencio
Traduction: Cleone Rois Teodoro