vendredi 7 juin 2013

Auto-obsession. Porquoi insistons nous en nous saboter?

 Chaque personne est-ce qui croit, elle trouve ce qu’elle cherche, elle aprend ce qu’elle a apris, elle a ce qu’lle donne et elle vaut ce qu’elle fait. Il est toujours facile cependant a chacun de nous de reconnaître les schémas d’existence dans lesquels nous nous posons.



Esprit:EMMANUEL
Médium: Francisco Cândido Xavier

La tentative d’associer la médecine traditionnelle avec des techniques complémentaires a montré un aspect trés intéressant des maladies, qui est précisement l’obsession de soi, c’est à dire, notre capacité innée y pas toujours consciente de nous noisir, qui soutient en nous-même ce qui  nous aflige. Il y a des gens qui lorsqu’ils entendent parler de l’obsession inmediatement pensent à l’espiritisme et l’influence spirituelle. Mais ici on parle de l’auto obsession, et vous pouvez le croire, ceci est plus fréquent que vous ne le pensez.
L’influence spirituelle dans la vie des personnes est dans la Bible, elle n’a pas été inventée par l’espiritisme. Ceux qui ont lu les textes sacrés avec soin ont compris facilement qu’il s’agit d’une croyance enracinée dans le peuple juif et d’autres, l’influence des esprits désincarnés, des esprits impurs qui causaient des maladies, de la folie, de l’idiotie, etc.

On ne veut pas mépriser cet influence, au contraire, on veut aborder le complément de l’histoire qui respect à ce boycott de soi-même, qui maintient en nous des modèles de conduite, des pensés, d’atitude qui nous noisent.

Il y a jours en voyant le programme de Oprah Winfrey présentatrice americaine la plus connue, un psychologue a donné une interview et, disait-il, « l’augmentation croissante des usagers de drogues, de l’alcool, de cigarrete, aussi que l’augmentation de l’obésité, peuvent avoir comme cause commune le besoin qu’on a de se maintenir en souffrance ». Il a cité un exemple beaucoup pratique. « Un tel est obèse et il dit que c’est la cause de l’échec de son marriage.     S’il perd du poids et le probléme n’est pas fini qui sera responsable ? ».

Dans nos centres de service espirites, on a souvent trouvé des situations comme cela. Notre liaison au passé est si fort qu’il est simplement impossible de nous déconnecter des modèles de conduite adoptés dans des plusiers existences que nous avons déjà eu. C’est l’origine des conflits, une dissociation de ce que nous avons appris et de ce que nous faisons. C’est le vieux dicton « Faites ce que je dis et pas ce que je fais ». Nous avons tous cette conduite dans certaine mesure, mais ça ne constitue pas une déviation de caractère ou fausseté, celá a lieu seulement pour la raison de que nous vivons dans une ouverture dans le monde entier, un changement de paradigme qui nous met vis à vis aux enseignements merveilleuses et provoque en nous une volonté précise d’un changement profond.

Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira, dit Jésus. Toutes les réligions vivent ce moment particulier, chacune à sa manière. La Science commence à approfondir dans l’étude du rapport émotion x physique, la physique quantique commence nous indiquer qu’il y a plus que la matière qui nous sert de vêtement sur la terre. Lorsque nous avons contacté la bonne nouvelle du troisième millénaire, où l’esprit surpasse le physique, nous nous devenons étonnés, mais nous nous rendons compte aussi du chemin imense qui nous reste encore a parcourir pour atteindre la libération individuelle pour nous délivrer du passé de faute et chagrin.     

La marche doit se faire en toute sécurité, avec beaucoup de compassion pour nos peines en nous traitant comme nous traitons un fils, ou nos parents lorsque nous avons remarqué ses défauts. L obsession de soi-même a deux côtés opposés, l’un et l’autre maléfiques. On peut se percevoir à l’exces et transformer la vie dans un « péché » éternel. Et dans ce cas, tout est faux. D’autre part, on peut boycotter l’évolution, en attachant à des convictions qui nous maintiennent aux erreurs primitives.

Maísa Intelisano nous parle de l’auto-obsession “contraire » dont nous nous croyons être ou faire plus qu’en vérité nous sommes et faisons, la condition qui nous amène à la fascination de l’autoréférence, celle que, inconsciemment, nous fait penser que nous sommes superieures... Et cette est encore plus dangereuse que la première, parce qu’elle nous trompe par la fausse sensation de bien-être, réalisation et bonté, etc., en nous faisant croire qu’on est heureux et sain. L’autre nous porte la nuisance, par son aide nous cherchons ce que nous devons changer en nous même. Mais la « contraire » nous met en confusion due à la manque d’impression de que il n’y pas besoin de changer.    

On a l’éternité pour jouer son rôle, mais on peut commencer maintenant, on peut s’affranchir du préjugé, des chagrins et des fautes, de la rage ; soyons reconnaissants à Dieu parce que nous sommes ici dans un monde si plein de possibilité d’être un chrétien.

Paix et lumière!

samedi 1 juin 2013

LA PRIÈRE COMME MOYEN DE TRAITEMENT

Est-que le médicin doit-il prescrire une prière comme moyen de traitement ?
La Médicine s’approfondit dans le rapport esprit-corps et ses consequences, car malgré tous les resources terapeutiques disponibles dans l’actualité, les gens continuent ayant de la dépression et en désespoir commetent suicide, à la cherche d’une chose qui leur porte de plus en plus le bonheur facile et des sensations causées pal l’adrénaline, même que fugaces.
L’intercession divine dans les proces de guérison a eut la compagnie d’homme dés son premier moment sur la Terre, quoique que traitée d’une differente façon par des differentes religions ou croyance de la planète.
La plupart du peuple le considère encore comme un miracle une amélioration quelconque qui n’a pas eut une explication basée sur la cience officielle. La doctrine éspirite explique par moyen de la logique que des miracles n’éxistent pas, car celá se constituirait une révocation des lois de Dieu qui nous donne une cause logique à tout, quand même notre ignorance ne nous permet pas la compréhension du procés dans son intégrité.
Des milliers de scientistes dans le monde entier s’attachent à la récherche sur l’influence de la réligiosité, de la prière, de la croyance dans la santé humaine. En fayant une simple récherche dans le google http://scholar.google.com à travers des mots en anglais pray and health (prière et santé) on a obtenu 32.000 articles scientifiques. Quand on fait la même cherche dans le google brésilien http://www.google.com.br avec les mots oração e saúde, on trouve 821.000 références. La plupart de celles-lá n’est pas évidemment une production scientifique comme dans le cas cité ci-dessus, toutefois il nous démontre l’importance que le sujet mérite et la cherche de toute la societé qui désire des plus simples metodes de guérison au bon marché, qui soient plus selon la nature en nous portant la guérison de l’âme.
Monsieur le Docteur William Harris du Mid America Heart Institute, Saint Luke’s Hospital, Kansas City, a realisé une étude chez des patients qui ont subi l’infarctus. Ils furent séparés un deux groupes. Un des groupes a reçu des prières à distance pendant 4 semaines ; l’autre a reçu du traitement conventionnel. Le groupe qui a reçu les prières a eut 3 fois moins des complications que le traditionnel.
La Doctoresse Anne Mc Caffrey de l’Université de Harvard conduisi en 1998 une étude pour évaluer la religiosité des personnes dans les États-Unis, où 35% des personnes admettaient l’usage de la prière comme une manière d’aider dans les maladies. La condition de femme agée au-dessus de 50 ans augmentait la frequence des prières. Des maladies telles comme dépression, mal de tête et alergie aussi. Mais seulement 11% des personnes qui priaient pour ses guérison en parlaient aux médicins. 
Le Docteur Michael Monroe de l’Université de Caroline du Nord a conduit une étude chez 460 médicins et a découvert que 86% d’eux réfusent l’idée de discutir la croyance réligieuse de ses patients, à moins qu’ils etaient presqu’a la mort.  
Il a des articles qui ne montrent pas aucune difference entre recevoir et ne pas recevoir des prières dans le proces de guérison des patients.
Il serait assez interessant si les professionnels de la santé fussent plus accessibles à ce sujet en vennant à discuter la question dans les consultations.  
L’abordage de la religiosité du patient croît un lien d’appui que la plupart des patients désire avoir. On trouve rarement dans notre pratique medicale de tous les jours des patients qui se donnent la peine d’en parler.
Même les évangéliques, les plus souvent plus radicaux, sont d’accord pour parler sur ce sujet avec tranquilleté quand l’invitation est faite avec absolu respect pour l’avis d’autrie. En verité les bases du l’enseignement de Jésus Christ sont presentes dans toutes les réligions. Ces sont les points les plus importants qui doivent être observés, et non les divergences parmi les croyances religieuses. Nous proposons cette abordage qui donne appui pour qu’on ouvre une nouvelle voie de traitement qui a déjà démontré son efficacité a travers la prière, du changement de pensées et d’habitudes de vie, etc.
N’esperons pas l’heure de la mort pour discuter des sujets religieux et de croyance. Dans beaucoup des familes la simple mention de ces sujets parait creer un mauvais présage, comme s’il fût un mauvais augure l’abordage des thèmes comme Dieu, prière, spiritualité et d’autres. Ils ne savent que causer sur les romans de la télévision, les nouvelles extravagantes, des politiques voleurs, des jeux de match en cachant ses vrais problémes, en dissipant des moments d’une conversation agreable et terapeutique. Plusiers groupes de térapie font l’usage de cette technique où chaqu’un se manifeste en posant ses points de vue, ses difficultés, comment il s’est amelioré, comment il s’est empiré, et c’est comme ça que les personnes suivent leur apprentissage pour se devenir plus fortes. Dans le rapport médecin-patient peut-on faire la même chose. Et aussi dans notre vie de tous les jours.
Le médicin peut, et encore doit, prescrire la prière, comme moyen de traitement. Sans fanatisme ni radicalisme dépourvus de sens qui veulent interrompre la médication et ainsi de suite. Nous sommes l’ésprit qui habite dans un corps physique. Traitons-les.
Ne soyons pas des espirites que dans le centre, ne soyons pas des catholiques ou des protestants que dans les églises. Il est salutaire que nous vivons notre religiosité continuement, sans prosélitisme pour endoctriner tout le monde, mais d’une façon individuelle. Quand on ferme les yeux et respire à fond en rémerçant à Dieu pour le fait de que nous sommes ici avec cette opportunité à la main ça peut être la meilleure prière de toute la vie, sans le besoin de chaire, de discours, de temples, car le vrai temple est au dedans ; c’est lá qu’on doit edifier le si rennomé temple de Dieu. Un rapport inteligent et rationel entre notre santé physique et notre santé spirituelle est, sans doute, le chemin plus rapide de la vraie guérison, la guérison intégrale du l’être.    

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Sérgio Vencio
Traduction: Cleone Rois Teodoro

dimanche 24 mars 2013

L’homéopathie, ce qu'elle est et comment il fonctionne? - Dr Ricardo di Bernardi

L’homéopathie est une thérapie en premier lieu décrite et organisée par un médecin, chimiste et chercheur allemand, Samuel Hahnemann (1755-1843). Il avait découvert aprés beaucoup d’années de récherche que les maladies semblables sont guéries par des maladies semblables. Actuellement, aprés avoir parcouru une longue trajectoire exposée à doutes et préjugé, l’homéopathie est déjà réconnue par le Ministério da Saúde comme une pratique integrative du Sistema Único de Saúde dépuis 2006, et peu à peu continue à gagner des adeptes.
Chez une clinique privée à Florianópolis et chez Clinipar, Dr. Ricardo Di Bernardi, médecin généraliste homéopathe et Thérapeutique Régressive dans les Vies Passées – TRVP – complete la thorie de Hahnemann en disant que : le semblable guére le semblable.
Di Bernardi a donné une interview chez Saúde em Foco, en éclairant les principales doutes envers l’homéopathie, aussi dans le traitement des adultes qu’au des enfants ; vérifiez les points principaux de l’interview ici-bas :
Marilei – Que signifie exactement ce principe de l’homéopathie : les maladies semblables guérent des maladies semblables ?
Dr. Ricardo – En réalité on fait l’usage de la dénomination suivante : Le semblable est guéri par le semblable ; par example, suposons que le remède homéopathique dont on fait l’usage chez les enfants et les adultes, arsenicum album qui devient un venin mortel quand ingéré pur, car il manifeste les symptômes suivants, intense pâleur, manque de l’air, anxiété, angoisse, intense sudorèse, crise d’asthme et même l’arrêt respiratoire. Toutefois, cet arsenicum album même, quand on l’administre comme arsenicum homéopathique, sert à traiter et guérir un patient qui ait les symptômes antérieurement cités, en fonction de sa ressemblance. L’arsenicum album homéopathique est en verité la dilution de l’arsenicum chimique, par de milliers de fois dans l’eau, et alors l’eau passe l’énergie de l’arsenicum, mais elle ne possède pas sa chimie et ainsi elle fournit sa stimulation au moyen d’une action semblable à la défense organique, à un changement de l’organisme, en même temps qu’elle traite la maladie.

Marilei – À partir de ce principe, il y a beaucoup de doutes quant à l’éficacité de l’homéopathie dues aux milliers de dilutions dans l’eau, comment expliquez-vous l’éficacité du médicament, même quand il a été dilué tant de fois ?
Dr. Ricardo – Plus de dilution plus de puissance dans l’homéopathie, au contraire du médicament commun qui dans ces cas perd l’éffet, dans l’homéopathie une telle dilution augmente l’effet parce qu’il n’y a pas aucune action chimique chez le médicament, il n’agit pas biochimiquement, il agit par fréquence d’énergie, l’action se fait chez le corps énergétique, dans l’autre dimension, alors par exemple, l’arsenicum amene une fréquence d’énergie par moyen de l’eau qui constitue le seul véhicule de l’énergie, chez notre corps énergétique, appelé fluide vitale qui agit énergétiquement, la conséquence paraît chez le corps physique et mental.

Marilei – Quels sont les types de produits utilisés dans la composition des médicaments homéopathiques ?
Dr. Ricardo – On fait l’usage de médicaments végétaux comme pulsatilla, lycopodium, arnica. On fait encore l’usage de médicaments minéraux comme l’arsenicum album qu’on a cité tout à l’heure et on fait aussi l’usage de l’or, appelé aurum, de la platine comme ferrum mais non celui chimique, mais ce qu’est dilué, bien ainsi les médicaments extraits des animaux, comme bufagine du crapaud, lachesis trigone sefulus, d’une serpent à la tête triangulaire ; il y a aussi des remèdes d’araignées, de scorpions, de serpents, des blattes spécifiques, c’est à dire de trois royaumes. L’homéopathie ne constitue pas un traitement à base de plantes, et n’est-elle un thé, quoiqu’aussi tres bon, les traitements avec thés sont phytothérapeutique et non homéopathique.

Marilei – Quels sont les avantages et les inconvénients de l’homéopathie ?
Dr. Ricardo –D’abord des avantages : Les médicaments ont tendance à être plus accessibles, moins chers ; ils n’ont pas des effets secondaires parce qu’ils n’agissent pas dans la sphère chimique, les effets secondaires dans l’homéopathie sont presque inexistants, au contraire des remèdes traditionnels  (alopathiques) qui même dans les doses correctes peuvent avoir des effets secondaires. En outre, l’homéopathie agit sur la cause et non dans la périphérie, entre deux patients qui souffrent d’asthme, on ne va pas traiter leur asthme seulement chez la sphère organique, on la doit traiter au plan psychique, parce qu’il nous importe maintenant si l’asthme a son origine à partir  d’une attitude émotionnelle. Il faut identifier ces caractéristiques qui déclenchent des crises d’asthme, et vérifier si le patient a peur, angoisse, indignation, irritation, anxiété, et si ces caractéristiques son celles qui déclenchent  l’asthme, et selon ces caracteristiques le médicament se change et peut varier d’une personne à l’autre, et alors on va chercher l’homeopathie pour s’équilibrer, à faire cesser ou adoucir les crises. Quant aux inconvénients, je ne les connaie pas, mais pour ne défendre mon propre intérêt, considerons une personne qui traite seulement par l’homéopathie, de façon radicale. On risque de ne pas traiter une maladie quelleconque, par exemple, je suis médecin homéopathe, mais si mon patient souffre de méningite, je lui dois traiter avec une injection, avec des antibiotiques, même dans la veine, même si le patient veut seulement l’homéopathie. On doit traiter avec des antibiotiques ou on doit changer de médecin, parce que dans le cas contraire le décès ou une lésion définitive peuvent arriver ; l’usage de l’homéopathie doit être fait avec prudence et dans son propre moment, l’inconvenient serait l’utilisation de l’homeopathie d’une manière inadéquate, sans bon sens.

Marilei – Quels sont les types des maladies traitées par l’homéopathie ?
Dr. Ricardo – Les maladies les plus souvent traitées sont celles d’origine émotionnelle : anxiété, stress et aussi celles allergiques comme rhinite et encore les asthmes, migraine, gastrite, bronchite, toutes celles répetitives qui vont et viennent ensuite ; avec l’homéopathie le résultat est beaucoup plus éfficace et rapide, mais non durant la crise, en ce moment je donne du médicament analgésique contre la douleur, mais si l’on voit traiter la migraine pour le reste de la vie, j’utilise l’homéopathie, et les crises seront de moins en moins jusqu’à disparaître. En tous cas de maladies on peut utiliser l’homéopathie pour aider dans le traitement conventionnel ; je déjà eu des patients porteurs de SIDA et de cancer, alors j’ai les orienté à continuer le traitement avec l’infectologue ou l’oncologue ; j’ai les dit ensuite que je les aiderais avec le traitement homéopathique, et certes on peut les donner bien d’aide.  

Marilei – L’homéopathie peut beaucoup aider dans l’amélioration de l’imunité, n’est-ce pas ?
Dr. Ricardo – Oui, en effet, c’est vrai.

Marilei – Est-ce que seulement des médecins peuvent-ils devenir homéopathe ? Comment savoir si celui que nous consultons est-il un professionnel qualifié ?
Dr. Ricardo – La seule manière d’en savoir c’est la connaissance s’il s’agit ou non d’un médecin parce que dès 1990,  l’homéopathie est reconnue comme une spécialité médicale, par le Conselho Federal de Medicina et par le Conselho Estadual de Medicina. L’homéopathie ne peut être exercé que par des médecins.

Marilei – Quand on subit un traitement homéopathique pour un cas determiné peut on prendre des remèdes d’un cas sans rapport avec celui-ci du traitement par l’homéopathie?
Dr. Ricardo – Oui, sans doute.

Marilei – Peut on subir un traitement allopathe le long du traitement homéopathe?
Dr. Ricardo – Oui, c’est possible, on doit leur appuyer; des patients qui ont des problèmes dans la thyroïde, on leur traite parallèlement au médecin allopathe.

Marilei – Dans ce cas, y a-t-il besoin d’informer au médecin allopathe?
Dr. Ricardo – Pas nécessairement, mais si on le désire, oui, parce que l’homéopathie n’interférera pas dans le traitement allopathe.

Marilei – Qu’est-ce que l’homéopathie? Un traitement curatif ou préventif, ou les deux?
Dr. Ricardo – Tous deux.

Marilei – Le traitement par l’homéopathie est-il plus long que le traitement de remédes conventionnels?
Dr. Ricardo – Une dame d’entre mes clients, qui souffrait de migraine, déjà un peu agée, s’est traitée depuis trente ans avec un excellent neurologiste.  Elle m’a cherché pour traiter par l’homéopathie. On a commencé l’anamnese (l’investigation de son cas) en observant son tempérament, des rapports dans la famille, ses peurs, des rêves qu’elle avait pendant la nuit, les sensibilités, pour caractériser la fréquence de son énergie, et j’ai prescrit les médicaments. J’ai dit à elle de venir régulièrement pour la surveillance du traitement , chaque mois d’abord, ensuite tous les deux mois, et alors tous les trois mois. Elle me demanda: combien de temps durera ce traitetment? J’ai repondu de 2 à 3 ans plus ou moins. Elle dit: Ah ! Dr. Ricardo l’homéopathie est très lente, n’est ce pas? J’ai demandé à la dame: conbien de temps êtes vous en traitement avec votre neurologiste? 30 ans, c’est vraie.  J’ai dit à elle alors 3 ans ce n’est pas beaucoup, n’est ce pas? Alors en verité les gens répetent, par l’habitude, c’est à dire, ce n’est pas la realité.

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Ricardo Di Bernardi
Traduction: Cleone Rois Teodoro



Dr Ricardo Di Bernardi est un pédiatre et homéopathe. Il est président de l'Institut de la culture spiritualiste de Santa Catarina à Florianópolis, au Brésil. Il est un conférencier international avec plusieurs livres publiés.
Instituto de Cultura Espirita DE FLORIANÓPOLIS www.icefaovivo.com.br
Email - rhdb11@terra.com.br

jeudi 14 mars 2013

De la mort prématurée – l’entendre pour l’accepter.

 Dans la pratique médicale quotidienne le thème qui nous frappe le plus est probablement celui de la mort prématurée. Confronter tous le jours avec des pacients au-delà de l’âge de quatre-vingt qui présentent des problèmes chroniques de santé et qui sont dans le chemin de la désincarnation, nous paraît comme quelque chose absolument physiologique, même grande la douleur de la famille au moment de prendre congé. Toutefois, quand il s’agit de la désincarnation d’un enfant, des adolescents ou d’un jeune adulte qui partent pour le plan spirituel avant de leurs parents, la rationalité que le spiritisme nous porte ne peut pas toujours être suffisante à soulager l’âme de  ceux qui restent.  

Le terme “mort prématurée” n’est pas peut-être convenable, car nous ne pouvons pas penser à une spiritualité superieure où les choses soient faites à l’improviste. Evidement nous nous référons ici à la prématurité du point de vue physique, c’est à dire, désincarnation d’un jeune et non désincarnation avant du temps programmé.

Jésus fut un exemple de mort prématurée en désincarnant avant de sa mère. Mais durant son apostolat il a donné des marques de savoir préalablement ce qui viendra à se passer. Matthieu 26, Jean 2 :19. En effet, ce fait a été plusieurs fois rapporté dans l’Ancien Testament, spécialement par  Ésaïe. Cette conaissance préalable ne l’a pas empêché de mener à la fin sa mission, car il a souvent affirmé que la realisation de la volonté du Père était ce qui l’intéressait le plus.

Quant aux parents qui regardent la mort du fils comme la fin de tout, la souffrance semble même n’avoir aucune fin, cependant autre chemin, avec plus d’amour et de la paix interieure peut exister. L’entendement du mécanisme dont les maladies arrivent est fundamental à la libération de la tristesse imense qui envahit la vie de la famille.

Tant qu’il y aura la croyance de que Dieu l’a voulu comme s’il y avait un Seigneur de barbe grise assis à la table en pressant des boutons colorés pour choisir qui va et qui reste, pour faire distribuer des bénéfices et des concessions, des châtiments et des punitions, on ne réussira pas l’avancement. La même idée atavique du bénéfice pour ce qui est bon et du châtiment pour ce qui est mal n’apaise pas la doute ni l’incertitude. Parce que, si l’on le regarde avec soin, qui d’entre nous peut être classé comme développé ou inferieur ? Tous sans exception ont des qualités et des défauts. Comment pourrait Dieu choisir ?

Comment expliquer qu’un enfant à l’âge de 2 ans, qui n’a pas eu du temps à faire des bonnes ni des mauvaises choses ait eu un cancer avec métastases et meurt aprés six mois de traitement ? Une punition pour les parents ? Rançon karmique de la famille ? Croire  à cette hypothèse équivaut à réduire Dieu à un tyran plein de déspotisme qui châtie l’innocent pour punir les parents. Quelle est cette sorte d’amour ? Car Jean l’Évangiliste nous a defini Dieu par l’unique forme que nous lui pouvons comprendre. « Dieu c’est l’amour ».

Il y a une seule réponse. Chacun répond par les acts pratiqués dans d’autres vies en rachetant par l’amour les dettes du passé et en marchant à pas de plus en plus solides vers notre Père. Il n’y a aucune punition, seulement l’oportunité. Il n’y a aucune fin ; il y a la continuité de la vie, d’une vie pleine, vie spirituelle. Il est beaucoup plus logique qu’on pense que si dans une autre vie, l’on a nui son corps spirituel par des actitudes et des vices, dans cette vie d’aujourd’hui on peut nettoyer son corps spirituel en drainant vers la chair, vers le corps physique ce qui a causé du mal.

Si l’on a épreuvé cette situation, la première chose à faire est s’arrêter de se questioner si l’on a fait du tort. Tout se déroule correctement. Tous est correct. Jésus disait que celui-là qui voulait lui suivre doivrait prendre sa croix et venir. Bien, ce moment est arrivé. C’est l’oportunité de montrer à Jésus qu’on a appris la leçon. On doit croire que son fils, son parent, son ami qui est désincarné continue plus vif que jamais, et assurément plus heureux, parce qu’il a drainé vers son corps physique une chose quelconque qui l’empêchait de croître. Regardez la leçon, elle est claire, Dieu n’a pas puni personne, c’était un récouvrement automatique imposé par des engagements du passé. Il n’y a eu aucun châtiment, seulement la libération.

Dans le processus de libération et d’entendement qui arrive aprés la mort prématurée, le premier item c’est ne pas aller contre vents et marées. Pourquoi ramer contre le courant du fleuve ? Ne désespèrez pas comme si la vie était finie. On doit accepter des limitations, on peut pleurer mais sans désespoir. Allez chercher de l’aide. Ouvrez le coeur à ceux qui sont alentour, consultez un psychologue, des réunions de thérapie de groupe et laissez la blessure cicatriser peu à peu. Et au-dessus de tout, on ne doit pas en faire une excuse pour ne vivre plus. Vous n’avez pas besoin de vous tuer peu à peu pour dire à la personne aimée qui est maintenant désincarnée « je t’aime tant que moi aussi je vais mourir ». Cela s’appelle suicide, non l’amour.  

Confiez et livrez-vous à les mains de notre Pére d’amour car il nous accueille et nous soulage. Souvenez-vous que le meilleur remède pour nos douleurs c’est soulager la douleur de votre prochain. Rendez votre sentiment de douleur dans quelque chose de sublime comme l’aide aux nécessiteux. En faveur de celui qui est désincarné le premier et de sa propre évolution spirituelle, transmuez ce sentiment et rendez-vous un moissonneur de Christ. Un jour viendra où on sera capable de regarder le passé pour entendre tout ce que la vie a voulu enseigner avec ce fait.

Paix et Lumière !

jeudi 7 mars 2013

L’insomnie - une approche spirituelle



Il est de plus en plus fréquent qu’on écoute dans le bureau la phrase suivante : Docteur, prescrivez-moi un médicament à dormir ! Quelques-uns exigent la prescription même de certains médicaments, car ils ont déjà expérimenté tous et ils savent que dans leur cas, certains fonctionnent mieux.

On vit dans l‘époque de pilules miraculeuses. On achète des miracles en capsules tous les jours, le ciel est la limite. Luther aurait qu’incarner de nouveau pour lancer une Contre Réforme ! Laissons que la science officielle traite de l’insomnie, mais il serait intéressant d’aborder quelques aspects du sommeil au point de vue spiritualiste.

Allan Kardec nous a dit dans son Livre des Esprits, dans le chapitre qui parle de l’émancipation de l’âme, que l’esprit n’est jamais inactif, il profite des heures du sommeil pour maintenir le rapport directement avec le plan spirituel, en entrant en contact avec les esprits incarnés et désincarnés, en visite à des endroits bons et mauvais, selon son évolution, selon ce qui sa propre énergie permet. Ça sert à expliquer le motif dont on peut s’éveiller complètement reposé et inspiré, mais d’autres jours on s’eveille plus fatigué que lorsque l’on est allé au lit.

Il n’est pas rare, durant les traitements dans le centre spirite qu’on remarque que quelques personnes simplement non réussent pas à dormir parce qu’elles conduisent leur maisons pleines d’esprits désincarnés qui pour une raison quelconque veulent nuiser cette famille, car c’est la loi qu’on récolte aujourd’hui ce qu’on a semé hier. On voit aussi que l’une des causes fréquentes d’insomnie c’est l’éveil à la mediumnité. Pendant l’engourdissement naturel du sommeil, lorsque l’esprit commence à se détacher du corps physique, comme il fait toutes les nuits, ces médiuns novices commencent à voir l’environnement spirituel chez eux. Alors pour peur de l’inconnu, ils se réfusent de dormir et ainsi causent d’énormes problèmes à l’economie physique, et néanmoins, il serait très facil d’étudier et comprendre le processus médiumnique, pour se libérer de peurs infondées, basées sur la superstition.

Quand nous imaginons notre nuit de sommeil comme un voyage qui doit être entreprise, facilement nous comprendrerons que quelques-uns simplement sabottent eux-mêmes leur sommeil. Un voyage quelconque exige un minimum de préparation. On vérifie le meilleur chemin, les vêtements à porter, l’argent, l’endroit où on va rester, etc..., mais la pluspart de nous ne réussit pas ni même à faire une prière avant de dormir. Pour quelques-uns il n’y a pas un meilleur antidote à l’insomnie qu’entamer une prière ou une lecture édifiante. C’est fatal. On commence à peine et s’endort.

On se prépare pour aller au lit, mais plein des problèmes, en portant une énormité de situations mal résolues, et cependant, on veut que la nuit soit tranquille.  Jésus nous dit que lá où est notre trésor, lá aussi sera notre coeur. Comment espérer des nuits tranquilles, accompagnées de l’ange gardien, notre mentor spirituel, lorsque la journée a été passée d’une manière agitée, anxieuse, turbulent ? Certes l’esprit sera auprés de ceux et des choses auxquelles s’adresse le sentiment.

Laissons d’être des chrétiens de temples qui se préocupent avec Jésus seulement lorsqu’ils sont dans la maison religieuse, ainsi, certes on aura des nuits tranquilles, d’un sommeil réparateur. Quand on peut ainsi réfléchir on arrive à la conclusion qu’on va au lit avec son pire énnemi, lui-même.

Les livres de Divaldo Pereira Franco nous rapportent des nombreuses cas d’ouvriers du bien, incarnés, qui profitent de leur nuits de sommeil à la continuation des travaux d’aide spirituelle entamé durant la journée. Combien des bénefices récoltent ces ouvriers en profitant chaque minute à leur évolution. Chaqu’un rencontre ce qu’il cherche. Celui qui a passé toute la journée en accumulant de la rage, de la mésintelligence et du stress, certes n’aura pas une nuit pareille à cette d’autrui qui tente de vivre en paix avec soi-même, en exerçant son spiritualité d’une manière sûre.

Pensons-y bien. Paix et lumière à tous !

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Sérgio Vencio
Traduction: Cleone Rois Teodoro

mercredi 20 février 2013

épilepsie - Ricardo Di Bernardi

 Des questions posées par les patients :

1)J’ai vingt-neuf ans et j’ai toujours mené une vie normale, mais depuis 4 ans j’ai eu des crises convulsives, mais l’épilepsie n’a pas été constatée par aucun examen (des électroencéphalogrammes répetés, chartographie cérébrale, résonance magnétique, etc.). J’ai déjà pris du gardenal, depakote et maintenant je prends topiramate 150 mg mais des crises continuent à se passer, je ne sais plus quoi faire. Pouvez vous m’aider ?

2)Dr. Ricardo, quelles sont les causes de l’épilepsie ? Est ce que l’épilepsie est intimément liée à la médiumnité ? On dit populairement q’un épileptique est un « grand medium » presque toujours psichophonic (dit populairement d’incorporation) et qu’il a besoin de développer sa mediumnité pour mieux se sentir. Est-ce vrai ?

Vous devez tout d’abord, continuer à tenter, avec un bon neurologiste, des alternatives médicamenteuses. Il y a aussi des cas de convulsions épileptiformes qui ne sont pas d’origine exclusivement neurologique, c’est à dire, ils sont causés par d’autres dysfonctions organiques soient aussi métaboliques, hormonales, neoplasiques, et encore d’autres, qui peuvent être la cause de la convulsion du type épileptique, mais sans que la dysrythmie cérébrale en soit la cause primaire. Un excellent professionnel de clinique, spécialiste en Médecine Interne, (ce n’est pas la même chose que Clinique Général) peut procéder à cette investigation. L’épilepsie existe à plusieurs degrés et types.  Il y a des épilepsies assez legères comme des lapsus de conscience qui sont appellés crises « d’absence » et même des convulsions violentes. Celle qui est le plus souvent commentée se caractérise par crises ou attaques des spasmes musculaires de contraction et de mouvements incontrolables avec perte concomitante de conscience.  Due à sa manifestation spectaculaire, externe, depuis les époques lointaines elle épouvantait tout le monde en étant attribuée aux agents démoniaques et misterieux ou à l’influence lunaire d’où vient l’expression lunatique.

L’un des pères de la médecine, Hippocrate luttait pour dettacher la rélation de cette enfermité avec le « sacré ». Dans certains endroits, il y a encore aujourd’hui cette tendance. Souvent la personne qui est en train d’avoir une crise convulsive épileptique s’aperçoit de l’arrivée de la crise par les symptômes. Certains sentent une chaleur legère enveloppante ou une typique sensation visuelle, olfactive, auditive, gustative, tactile ou douloureuse, communément sur l’abdomen. On peut la détecter dans l’EEG – électroencéphalogramme – une dysfonction ou dysrythmie cérébrale, c’est à dire, un changement du rythme des ondes emises par le cerveau. Néanmoins, dans certains cas ces changements dysrythmiques ne sont pas détectés.   

Dans toutes nos pathologies ou problèmes humains il y a la participation spirituelle, à degrés divers. Dans l’épilepsie ou dans les appellés « attaques », une connexion peut se produire entre le malade et l’obsesseur, et il peut avoir lieu une vraie «incorporation» ou une transe médiumnique.  Il y a toujours une fragilité organique cérébrale, motivée par le changement du modèle biologique d’organisation (périsprit) qui amene des lésions acquises dans les vies passées. Des lésions qui ont des diverses origines. Dans les cas dits de « petit mal » ou crises d’absence la presence des esprits obsesseurs n’est pas commune. Dans les cas des crises convulsives graves, il y a aussi des lésions périspirituelles dont l’origine est le progrès historique du patient mais la frequente (non pas toujours) association de l’obsesseur desincarné. L’action de l’obsesseur prend lieu dans le dénominé « locus minoris resistentiae », c’est à dire, à la place de la moindre résistance de l’obsedée, chez cette personne, dans le cerveau... Beaucoup de fois la connexion de l’obsesseur avec la « victime » se produit chez les chakras gastrique, splénique, génésique, mais la répercussion atteint intensément le point faible de l’obsédé qui est la région cérébrale fragilisée. Dans certains cas, le choc du contact des énergies de le sprit désincarné avec l’obsédé (médium ?) peut être un facteur déterminant pour le procès convulsif. La convulsion même peut donner cause a une forte convulsion chez l’esprit en l’amenant à se éloigner.

Il y a des cas dans lesquels l’individu dit épileptique ne présent rien dans les examens de l’EEG, toutefois il a des symptômes. L’interférence continue de l’obsesseur sur la personne sensible dans cette aire pouvra occasionner des lésions au fil des années. C’est qui se passe c’est que le périsprit ou corps astral a son paracerveau lésioné, mais il n’a pas encore transféré cette lésion au corps biologique. Le traitement concomitant médicale et spirituel pouvra empêcher que la lésion s’installe dans le corps biologique.  En termes techniques, médicaux,  on appelle « l’aura épileptique » (il y a d’autres désignations) à l’ensemble des phénomènes ou sensations qui précèdent la crise convulsive. Voilà ces sensations : la perception ou l’hallucination de couleurs, visions, des ombres, des bruits, des voix, des odeurs, sensation de chaleur sur le visage, un goût amer dans la bouche et d’autres. Curieusément il s’agit des similaires sensations dont les médiums ont avant de la connexion avec l’esprit communicant dans la session de désobsession. Également la douleur dont certains médiums ressentent dans le creux de l’estomac pendant la liaison avec le chakra basique. Ces sensations de « l’AURA ÉPILEPTIQUE » en cas de crise convulsive peuvent s’écouler de l’imprégnation des énergies (fluides) de l’obsesseur à l’obsedé.

Racommandation importante: en complément du traitement neurologique l’higiene mentale ou l’entretien des pensées optimistes, fraternelles, et similaires constituent de l’aide au traitement. Pensées de rage, de haine, d’envie, de ressentiment, et d’autres de basse fréquence, favorisent les crises par syntonie avec l’obsesseur. Avant de développer sa médiumnité, le patient doit se spiritualiser et ensuite étudier la doctrine spirite et enfin considérer l’action comme médium. Le traitement (médicale + spirituel) peut contrôler des crises et empêcher la fixation de l’entité malade dans le cerveau du patient.  

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Ricardo Di Bernardi
Traduction: Cleone Rois Teodoro

dimanche 10 février 2013

Grossesse sans foetus – Dra Giselle Fachetti

Plusieurs publications psichographiées, à travérs des esprits sérieux, nous éclairent que des grossesses qui finissent par avortement sont utilizées comme un des moyens de thérapie dont se sert l’espiritualité pour la récupération des esprits au risque de ovoidization, et encore dans la récupération de ceux qui sont atteints de difformités graves du périspirit. 
Le transit à travers la matière, bien que fugace, permet la réstructuration du corps espirituel. Les mécanismes de miniaturisation et d’amnésie impliqués dans le processus permettent un nouveau balancement des esprits en souffrance, surtout chez ceux qui sont victimes de douleurs d’une telle intensité qu’ils sont pris des états de désagrégation mentale grave au risque d’implosion du corps spirituel.  
Cette morbidité spirituelle s’appelle aussi seconde mort, ou ovoidisation. Elle est décrite par André Luiz dans le livre Evolução em Dois Mundos autant que par Adamastor dans son excellent livre Ícaro Redimido, psichographié par le medium de Minas Gerais Gilson Freire.  
Si une expérience apparemment traumatisante et frustrante comme l’avortement spontané, peut être utilisée au bénéfice de ceux qui souffrent, pourquoi le permetrait Dieu, que cet aspect soit méprisé, pendant que des innombrables esprits ont besoin de la bénie thérapie de choc physique. 
On sait que 90 millions de naissances par an et 60 millions d’avortements, soit spontanée ou induits, ont lieu dans tout le monde. L’énergie mobilisée par ces processus douloureux est immense et elle a son utilité chez ceux qui sont impliqués physiquement dans le processus et également à ceux qu’ont besoin de récupérer l’anatomie du périsprit.  
Dans ces cas, même qu’il y a l’influence du champs morphogénétique de l’esprit réincarnant, la formation du corps physique reste préjudiciée selon le degré de difformité que cet esprit structurateur présent.
Des grossesses dans ces circonstances génèrent des embryons et des foetus avec des difformités qui sont incompatibles avec la vie physique, des fois même que la charge génétique soit tout à fait normal. C’est pourquoi nous avons environ 10 à 20 pourcent d’avortements chez grossesses cliniquement constatées.   
Du point de vue médical nombreuses explications existeront pour le développement inadequat du foetus et son élimination ultérieure. Maladies génétiques, thératogenicité induite par des facteurs environnementaux, tels que des infeccions et des médicaments, des changements immunologiques, troubles du métabolisme enzymatique et de protéine...
Telles explications sont absolument vraies du point de vue materiel, mais la cause des avortements spontanés est au-delá de la question physique. L’esprit, que devrat présider la formation d’un nouveau corps physique, apporte dans sa complexité morphologique des difformitées qui seront transmises par réssonance morphique à son double étherique. 
Chez certaines entitées telle est la difformité  presentée qu’elles ne sont pas capables d’induire la matière à ce qui n’est plus que la prolifération désordonnée et agressive du tissu syncytial tel que nous l’avons rémarqué chez les cas de môle hydatiforme. 
Les esprits parasites qui au cours des siècles se sont habitués à extraire des énergies vitales de leur partenaires obsedés, lesquels accomplent leurdouloureux chemin terrestre, n’ont que cette capacité à offrir aux tissus dont la neoformation ils ont induit.
Pourvue que l’infirmité soit tratée et que les cellules agressives soient éliminées de l’organisme maternel, la source de l’exploration devient sèche. Et alors le parasite est forcé à obtenir lui-même l’énergie de son économie phisiologique.
En ce moment crucial il est capable d’entrevoir des étincellments de conscience que si renforcés par l’énergie amoureuse de la famille qui a subi la perte avec résignation et espoir, serviront comme combustible à son développement définitif comme un esprit conscient, ce qu’il a été avant de se couler dans le bourbier de son désespoir.  
Donc, quoiqu’il soit possible dans des situations excepcionnelles, l’existence de gestations sans qu’il n’y ait des esprits y destinés, est une situation trés rare. Rare, car la spiritualité supérieure est extrêmement organisée et essaie de ne pas perdre aucune occasion de faire du bien.    
Et même, exceptionnellement lorsque ça se produit, nous pouvons en être certains que sans doute un système organique parfait et fonctionnel ne se formera pas, car une telle chose n’est pas possible sans l’influence d’un esprit  de structure physiologique minimalemente adéquate.
Elles seront au maximum des grossesses anembryonnaires et plus souvent des microavortements qui arrivent d’une façon imperceptible même dans le diagnostic clinique.
On sait que 70% des oeufs sont perdus sans qu’ils peuvent générer une grossesse cliniquement détectable. Cela se produit par ne pas exister un esprit determiné pour l’incarnation dans cette oportunité. 
Actuellment on peut mieux éclaircir ce qui a été abordé d’une façon générique dans le Livre des Esprits. À  cette époque on ne connaissait pas même des differentes possibilitées en termes de cause organique d’avortement et de tératogenèse. D’où vient qu’il y a eu une réponse essenciellment générique. Maintenant, cependant, nous avons déjà des conditions de nous confronter à des veritées plus profondes.
Est-ce qu’il y aura parmi les mort-nés quelques-uns qui ne sont pas éte destinés à l’incarnation d’un esprit ?
 «En effet, il y a quelques-uns dont les corps n’aurons pas aucun esprit. Rien leur etait destiné à effectuer. Tels enfants, alors, sont venu seulment pour leur parents ».
L’utilité de cette conaissance constitue le but primordial de la valorisation de la vie, peu importe un progrès au-delà des barrières du ventre maternel. Quelque soit la durée de la grossesse elle doit être vecu avec amour.
Les parents doivent savoir que l’amour qu’ils transfèrent à l’esprit qui a été spontanément avorté, au porteur d’une difformité physique incompatible avec la vie, au handicapé, est le médicament beni qui leur guérira de la morbidité depuis si longtemps, en fonction de leurs propes delicts, dont l’opportunité extraordinaire d’un traitment de restructuration ils ont maintenant en raison de la charité divine.
Si l’amour et l’acceptation qui imprègnent les entrailles maternelles qui accueillent le malade fragile pour admission en caractère intensif, comme un cas d’urgence, le plus souvent obligatoire, le seul résultat sera le miracle de pleine récupération de l’anatomie spirituelle.
Des répercussions encore plus significatives arrivent comme résultat de ces épreuves marquantes. Bientôt la famille qui a subi la perte inattendue, peut recevoir comme un cadeau un bel enfant, pour qu’il puisse se développer sous sa garde. Un enfant réconnaissant et endoctriné vers le bien, car il a appris par l’exemple et par le sentiment.
L’amoureuse cloche de verre qui s’est formée pendant la grossesse frustrée demeure en couvant l’ex-souffreur afin de lui proteger dans sa nouvelle étape.  Elle est un réservoir d’énergie qui lui conduit fermement à travers l’infortune qu’il doit franchir, encore dans le monde spirituel, pour être digne d’une autre opportunité reincarnatoire, maintnant passible de réussite du point de vue de ses réalisations chrétiennes. 
Lui, après cette sublime transfusion d’énergie à la récupération de son corps spirituel débilité, vient à capter des instructions supérieures et réussit, enfin, à se fortifier dans le chemin du bien. Un bien qu’il a conquis pendant ce bref période de thérapie intensive qui est dénominée par les serviteurs immatériels du Christ comme un choc physique d’amour. 

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Giselle Fachetti Machado
Traduction: Cleone Rois Teodoro


Dra Giselle Fachetti est gynécologue. Travaux dans la Communauté Spirit Ramatis, situé dans la ville de Goiânia - Brésil