vendredi 7 juin 2013

Auto-obsession. Porquoi insistons nous en nous saboter?

 Chaque personne est-ce qui croit, elle trouve ce qu’elle cherche, elle aprend ce qu’elle a apris, elle a ce qu’lle donne et elle vaut ce qu’elle fait. Il est toujours facile cependant a chacun de nous de reconnaître les schémas d’existence dans lesquels nous nous posons.



Esprit:EMMANUEL
Médium: Francisco Cândido Xavier

La tentative d’associer la médecine traditionnelle avec des techniques complémentaires a montré un aspect trés intéressant des maladies, qui est précisement l’obsession de soi, c’est à dire, notre capacité innée y pas toujours consciente de nous noisir, qui soutient en nous-même ce qui  nous aflige. Il y a des gens qui lorsqu’ils entendent parler de l’obsession inmediatement pensent à l’espiritisme et l’influence spirituelle. Mais ici on parle de l’auto obsession, et vous pouvez le croire, ceci est plus fréquent que vous ne le pensez.
L’influence spirituelle dans la vie des personnes est dans la Bible, elle n’a pas été inventée par l’espiritisme. Ceux qui ont lu les textes sacrés avec soin ont compris facilement qu’il s’agit d’une croyance enracinée dans le peuple juif et d’autres, l’influence des esprits désincarnés, des esprits impurs qui causaient des maladies, de la folie, de l’idiotie, etc.

On ne veut pas mépriser cet influence, au contraire, on veut aborder le complément de l’histoire qui respect à ce boycott de soi-même, qui maintient en nous des modèles de conduite, des pensés, d’atitude qui nous noisent.

Il y a jours en voyant le programme de Oprah Winfrey présentatrice americaine la plus connue, un psychologue a donné une interview et, disait-il, « l’augmentation croissante des usagers de drogues, de l’alcool, de cigarrete, aussi que l’augmentation de l’obésité, peuvent avoir comme cause commune le besoin qu’on a de se maintenir en souffrance ». Il a cité un exemple beaucoup pratique. « Un tel est obèse et il dit que c’est la cause de l’échec de son marriage.     S’il perd du poids et le probléme n’est pas fini qui sera responsable ? ».

Dans nos centres de service espirites, on a souvent trouvé des situations comme cela. Notre liaison au passé est si fort qu’il est simplement impossible de nous déconnecter des modèles de conduite adoptés dans des plusiers existences que nous avons déjà eu. C’est l’origine des conflits, une dissociation de ce que nous avons appris et de ce que nous faisons. C’est le vieux dicton « Faites ce que je dis et pas ce que je fais ». Nous avons tous cette conduite dans certaine mesure, mais ça ne constitue pas une déviation de caractère ou fausseté, celá a lieu seulement pour la raison de que nous vivons dans une ouverture dans le monde entier, un changement de paradigme qui nous met vis à vis aux enseignements merveilleuses et provoque en nous une volonté précise d’un changement profond.

Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira, dit Jésus. Toutes les réligions vivent ce moment particulier, chacune à sa manière. La Science commence à approfondir dans l’étude du rapport émotion x physique, la physique quantique commence nous indiquer qu’il y a plus que la matière qui nous sert de vêtement sur la terre. Lorsque nous avons contacté la bonne nouvelle du troisième millénaire, où l’esprit surpasse le physique, nous nous devenons étonnés, mais nous nous rendons compte aussi du chemin imense qui nous reste encore a parcourir pour atteindre la libération individuelle pour nous délivrer du passé de faute et chagrin.     

La marche doit se faire en toute sécurité, avec beaucoup de compassion pour nos peines en nous traitant comme nous traitons un fils, ou nos parents lorsque nous avons remarqué ses défauts. L obsession de soi-même a deux côtés opposés, l’un et l’autre maléfiques. On peut se percevoir à l’exces et transformer la vie dans un « péché » éternel. Et dans ce cas, tout est faux. D’autre part, on peut boycotter l’évolution, en attachant à des convictions qui nous maintiennent aux erreurs primitives.

Maísa Intelisano nous parle de l’auto-obsession “contraire » dont nous nous croyons être ou faire plus qu’en vérité nous sommes et faisons, la condition qui nous amène à la fascination de l’autoréférence, celle que, inconsciemment, nous fait penser que nous sommes superieures... Et cette est encore plus dangereuse que la première, parce qu’elle nous trompe par la fausse sensation de bien-être, réalisation et bonté, etc., en nous faisant croire qu’on est heureux et sain. L’autre nous porte la nuisance, par son aide nous cherchons ce que nous devons changer en nous même. Mais la « contraire » nous met en confusion due à la manque d’impression de que il n’y pas besoin de changer.    

On a l’éternité pour jouer son rôle, mais on peut commencer maintenant, on peut s’affranchir du préjugé, des chagrins et des fautes, de la rage ; soyons reconnaissants à Dieu parce que nous sommes ici dans un monde si plein de possibilité d’être un chrétien.

Paix et lumière!

samedi 1 juin 2013

LA PRIÈRE COMME MOYEN DE TRAITEMENT

Est-que le médicin doit-il prescrire une prière comme moyen de traitement ?
La Médicine s’approfondit dans le rapport esprit-corps et ses consequences, car malgré tous les resources terapeutiques disponibles dans l’actualité, les gens continuent ayant de la dépression et en désespoir commetent suicide, à la cherche d’une chose qui leur porte de plus en plus le bonheur facile et des sensations causées pal l’adrénaline, même que fugaces.
L’intercession divine dans les proces de guérison a eut la compagnie d’homme dés son premier moment sur la Terre, quoique que traitée d’une differente façon par des differentes religions ou croyance de la planète.
La plupart du peuple le considère encore comme un miracle une amélioration quelconque qui n’a pas eut une explication basée sur la cience officielle. La doctrine éspirite explique par moyen de la logique que des miracles n’éxistent pas, car celá se constituirait une révocation des lois de Dieu qui nous donne une cause logique à tout, quand même notre ignorance ne nous permet pas la compréhension du procés dans son intégrité.
Des milliers de scientistes dans le monde entier s’attachent à la récherche sur l’influence de la réligiosité, de la prière, de la croyance dans la santé humaine. En fayant une simple récherche dans le google http://scholar.google.com à travers des mots en anglais pray and health (prière et santé) on a obtenu 32.000 articles scientifiques. Quand on fait la même cherche dans le google brésilien http://www.google.com.br avec les mots oração e saúde, on trouve 821.000 références. La plupart de celles-lá n’est pas évidemment une production scientifique comme dans le cas cité ci-dessus, toutefois il nous démontre l’importance que le sujet mérite et la cherche de toute la societé qui désire des plus simples metodes de guérison au bon marché, qui soient plus selon la nature en nous portant la guérison de l’âme.
Monsieur le Docteur William Harris du Mid America Heart Institute, Saint Luke’s Hospital, Kansas City, a realisé une étude chez des patients qui ont subi l’infarctus. Ils furent séparés un deux groupes. Un des groupes a reçu des prières à distance pendant 4 semaines ; l’autre a reçu du traitement conventionnel. Le groupe qui a reçu les prières a eut 3 fois moins des complications que le traditionnel.
La Doctoresse Anne Mc Caffrey de l’Université de Harvard conduisi en 1998 une étude pour évaluer la religiosité des personnes dans les États-Unis, où 35% des personnes admettaient l’usage de la prière comme une manière d’aider dans les maladies. La condition de femme agée au-dessus de 50 ans augmentait la frequence des prières. Des maladies telles comme dépression, mal de tête et alergie aussi. Mais seulement 11% des personnes qui priaient pour ses guérison en parlaient aux médicins. 
Le Docteur Michael Monroe de l’Université de Caroline du Nord a conduit une étude chez 460 médicins et a découvert que 86% d’eux réfusent l’idée de discutir la croyance réligieuse de ses patients, à moins qu’ils etaient presqu’a la mort.  
Il a des articles qui ne montrent pas aucune difference entre recevoir et ne pas recevoir des prières dans le proces de guérison des patients.
Il serait assez interessant si les professionnels de la santé fussent plus accessibles à ce sujet en vennant à discuter la question dans les consultations.  
L’abordage de la religiosité du patient croît un lien d’appui que la plupart des patients désire avoir. On trouve rarement dans notre pratique medicale de tous les jours des patients qui se donnent la peine d’en parler.
Même les évangéliques, les plus souvent plus radicaux, sont d’accord pour parler sur ce sujet avec tranquilleté quand l’invitation est faite avec absolu respect pour l’avis d’autrie. En verité les bases du l’enseignement de Jésus Christ sont presentes dans toutes les réligions. Ces sont les points les plus importants qui doivent être observés, et non les divergences parmi les croyances religieuses. Nous proposons cette abordage qui donne appui pour qu’on ouvre une nouvelle voie de traitement qui a déjà démontré son efficacité a travers la prière, du changement de pensées et d’habitudes de vie, etc.
N’esperons pas l’heure de la mort pour discuter des sujets religieux et de croyance. Dans beaucoup des familes la simple mention de ces sujets parait creer un mauvais présage, comme s’il fût un mauvais augure l’abordage des thèmes comme Dieu, prière, spiritualité et d’autres. Ils ne savent que causer sur les romans de la télévision, les nouvelles extravagantes, des politiques voleurs, des jeux de match en cachant ses vrais problémes, en dissipant des moments d’une conversation agreable et terapeutique. Plusiers groupes de térapie font l’usage de cette technique où chaqu’un se manifeste en posant ses points de vue, ses difficultés, comment il s’est amelioré, comment il s’est empiré, et c’est comme ça que les personnes suivent leur apprentissage pour se devenir plus fortes. Dans le rapport médecin-patient peut-on faire la même chose. Et aussi dans notre vie de tous les jours.
Le médicin peut, et encore doit, prescrire la prière, comme moyen de traitement. Sans fanatisme ni radicalisme dépourvus de sens qui veulent interrompre la médication et ainsi de suite. Nous sommes l’ésprit qui habite dans un corps physique. Traitons-les.
Ne soyons pas des espirites que dans le centre, ne soyons pas des catholiques ou des protestants que dans les églises. Il est salutaire que nous vivons notre religiosité continuement, sans prosélitisme pour endoctriner tout le monde, mais d’une façon individuelle. Quand on ferme les yeux et respire à fond en rémerçant à Dieu pour le fait de que nous sommes ici avec cette opportunité à la main ça peut être la meilleure prière de toute la vie, sans le besoin de chaire, de discours, de temples, car le vrai temple est au dedans ; c’est lá qu’on doit edifier le si rennomé temple de Dieu. Un rapport inteligent et rationel entre notre santé physique et notre santé spirituelle est, sans doute, le chemin plus rapide de la vraie guérison, la guérison intégrale du l’être.    

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Sérgio Vencio
Traduction: Cleone Rois Teodoro

dimanche 24 mars 2013

L’homéopathie, ce qu'elle est et comment il fonctionne? - Dr Ricardo di Bernardi

L’homéopathie est une thérapie en premier lieu décrite et organisée par un médecin, chimiste et chercheur allemand, Samuel Hahnemann (1755-1843). Il avait découvert aprés beaucoup d’années de récherche que les maladies semblables sont guéries par des maladies semblables. Actuellement, aprés avoir parcouru une longue trajectoire exposée à doutes et préjugé, l’homéopathie est déjà réconnue par le Ministério da Saúde comme une pratique integrative du Sistema Único de Saúde dépuis 2006, et peu à peu continue à gagner des adeptes.
Chez une clinique privée à Florianópolis et chez Clinipar, Dr. Ricardo Di Bernardi, médecin généraliste homéopathe et Thérapeutique Régressive dans les Vies Passées – TRVP – complete la thorie de Hahnemann en disant que : le semblable guére le semblable.
Di Bernardi a donné une interview chez Saúde em Foco, en éclairant les principales doutes envers l’homéopathie, aussi dans le traitement des adultes qu’au des enfants ; vérifiez les points principaux de l’interview ici-bas :
Marilei – Que signifie exactement ce principe de l’homéopathie : les maladies semblables guérent des maladies semblables ?
Dr. Ricardo – En réalité on fait l’usage de la dénomination suivante : Le semblable est guéri par le semblable ; par example, suposons que le remède homéopathique dont on fait l’usage chez les enfants et les adultes, arsenicum album qui devient un venin mortel quand ingéré pur, car il manifeste les symptômes suivants, intense pâleur, manque de l’air, anxiété, angoisse, intense sudorèse, crise d’asthme et même l’arrêt respiratoire. Toutefois, cet arsenicum album même, quand on l’administre comme arsenicum homéopathique, sert à traiter et guérir un patient qui ait les symptômes antérieurement cités, en fonction de sa ressemblance. L’arsenicum album homéopathique est en verité la dilution de l’arsenicum chimique, par de milliers de fois dans l’eau, et alors l’eau passe l’énergie de l’arsenicum, mais elle ne possède pas sa chimie et ainsi elle fournit sa stimulation au moyen d’une action semblable à la défense organique, à un changement de l’organisme, en même temps qu’elle traite la maladie.

Marilei – À partir de ce principe, il y a beaucoup de doutes quant à l’éficacité de l’homéopathie dues aux milliers de dilutions dans l’eau, comment expliquez-vous l’éficacité du médicament, même quand il a été dilué tant de fois ?
Dr. Ricardo – Plus de dilution plus de puissance dans l’homéopathie, au contraire du médicament commun qui dans ces cas perd l’éffet, dans l’homéopathie une telle dilution augmente l’effet parce qu’il n’y a pas aucune action chimique chez le médicament, il n’agit pas biochimiquement, il agit par fréquence d’énergie, l’action se fait chez le corps énergétique, dans l’autre dimension, alors par exemple, l’arsenicum amene une fréquence d’énergie par moyen de l’eau qui constitue le seul véhicule de l’énergie, chez notre corps énergétique, appelé fluide vitale qui agit énergétiquement, la conséquence paraît chez le corps physique et mental.

Marilei – Quels sont les types de produits utilisés dans la composition des médicaments homéopathiques ?
Dr. Ricardo – On fait l’usage de médicaments végétaux comme pulsatilla, lycopodium, arnica. On fait encore l’usage de médicaments minéraux comme l’arsenicum album qu’on a cité tout à l’heure et on fait aussi l’usage de l’or, appelé aurum, de la platine comme ferrum mais non celui chimique, mais ce qu’est dilué, bien ainsi les médicaments extraits des animaux, comme bufagine du crapaud, lachesis trigone sefulus, d’une serpent à la tête triangulaire ; il y a aussi des remèdes d’araignées, de scorpions, de serpents, des blattes spécifiques, c’est à dire de trois royaumes. L’homéopathie ne constitue pas un traitement à base de plantes, et n’est-elle un thé, quoiqu’aussi tres bon, les traitements avec thés sont phytothérapeutique et non homéopathique.

Marilei – Quels sont les avantages et les inconvénients de l’homéopathie ?
Dr. Ricardo –D’abord des avantages : Les médicaments ont tendance à être plus accessibles, moins chers ; ils n’ont pas des effets secondaires parce qu’ils n’agissent pas dans la sphère chimique, les effets secondaires dans l’homéopathie sont presque inexistants, au contraire des remèdes traditionnels  (alopathiques) qui même dans les doses correctes peuvent avoir des effets secondaires. En outre, l’homéopathie agit sur la cause et non dans la périphérie, entre deux patients qui souffrent d’asthme, on ne va pas traiter leur asthme seulement chez la sphère organique, on la doit traiter au plan psychique, parce qu’il nous importe maintenant si l’asthme a son origine à partir  d’une attitude émotionnelle. Il faut identifier ces caractéristiques qui déclenchent des crises d’asthme, et vérifier si le patient a peur, angoisse, indignation, irritation, anxiété, et si ces caractéristiques son celles qui déclenchent  l’asthme, et selon ces caracteristiques le médicament se change et peut varier d’une personne à l’autre, et alors on va chercher l’homeopathie pour s’équilibrer, à faire cesser ou adoucir les crises. Quant aux inconvénients, je ne les connaie pas, mais pour ne défendre mon propre intérêt, considerons une personne qui traite seulement par l’homéopathie, de façon radicale. On risque de ne pas traiter une maladie quelleconque, par exemple, je suis médecin homéopathe, mais si mon patient souffre de méningite, je lui dois traiter avec une injection, avec des antibiotiques, même dans la veine, même si le patient veut seulement l’homéopathie. On doit traiter avec des antibiotiques ou on doit changer de médecin, parce que dans le cas contraire le décès ou une lésion définitive peuvent arriver ; l’usage de l’homéopathie doit être fait avec prudence et dans son propre moment, l’inconvenient serait l’utilisation de l’homeopathie d’une manière inadéquate, sans bon sens.

Marilei – Quels sont les types des maladies traitées par l’homéopathie ?
Dr. Ricardo – Les maladies les plus souvent traitées sont celles d’origine émotionnelle : anxiété, stress et aussi celles allergiques comme rhinite et encore les asthmes, migraine, gastrite, bronchite, toutes celles répetitives qui vont et viennent ensuite ; avec l’homéopathie le résultat est beaucoup plus éfficace et rapide, mais non durant la crise, en ce moment je donne du médicament analgésique contre la douleur, mais si l’on voit traiter la migraine pour le reste de la vie, j’utilise l’homéopathie, et les crises seront de moins en moins jusqu’à disparaître. En tous cas de maladies on peut utiliser l’homéopathie pour aider dans le traitement conventionnel ; je déjà eu des patients porteurs de SIDA et de cancer, alors j’ai les orienté à continuer le traitement avec l’infectologue ou l’oncologue ; j’ai les dit ensuite que je les aiderais avec le traitement homéopathique, et certes on peut les donner bien d’aide.  

Marilei – L’homéopathie peut beaucoup aider dans l’amélioration de l’imunité, n’est-ce pas ?
Dr. Ricardo – Oui, en effet, c’est vrai.

Marilei – Est-ce que seulement des médecins peuvent-ils devenir homéopathe ? Comment savoir si celui que nous consultons est-il un professionnel qualifié ?
Dr. Ricardo – La seule manière d’en savoir c’est la connaissance s’il s’agit ou non d’un médecin parce que dès 1990,  l’homéopathie est reconnue comme une spécialité médicale, par le Conselho Federal de Medicina et par le Conselho Estadual de Medicina. L’homéopathie ne peut être exercé que par des médecins.

Marilei – Quand on subit un traitement homéopathique pour un cas determiné peut on prendre des remèdes d’un cas sans rapport avec celui-ci du traitement par l’homéopathie?
Dr. Ricardo – Oui, sans doute.

Marilei – Peut on subir un traitement allopathe le long du traitement homéopathe?
Dr. Ricardo – Oui, c’est possible, on doit leur appuyer; des patients qui ont des problèmes dans la thyroïde, on leur traite parallèlement au médecin allopathe.

Marilei – Dans ce cas, y a-t-il besoin d’informer au médecin allopathe?
Dr. Ricardo – Pas nécessairement, mais si on le désire, oui, parce que l’homéopathie n’interférera pas dans le traitement allopathe.

Marilei – Qu’est-ce que l’homéopathie? Un traitement curatif ou préventif, ou les deux?
Dr. Ricardo – Tous deux.

Marilei – Le traitement par l’homéopathie est-il plus long que le traitement de remédes conventionnels?
Dr. Ricardo – Une dame d’entre mes clients, qui souffrait de migraine, déjà un peu agée, s’est traitée depuis trente ans avec un excellent neurologiste.  Elle m’a cherché pour traiter par l’homéopathie. On a commencé l’anamnese (l’investigation de son cas) en observant son tempérament, des rapports dans la famille, ses peurs, des rêves qu’elle avait pendant la nuit, les sensibilités, pour caractériser la fréquence de son énergie, et j’ai prescrit les médicaments. J’ai dit à elle de venir régulièrement pour la surveillance du traitement , chaque mois d’abord, ensuite tous les deux mois, et alors tous les trois mois. Elle me demanda: combien de temps durera ce traitetment? J’ai repondu de 2 à 3 ans plus ou moins. Elle dit: Ah ! Dr. Ricardo l’homéopathie est très lente, n’est ce pas? J’ai demandé à la dame: conbien de temps êtes vous en traitement avec votre neurologiste? 30 ans, c’est vraie.  J’ai dit à elle alors 3 ans ce n’est pas beaucoup, n’est ce pas? Alors en verité les gens répetent, par l’habitude, c’est à dire, ce n’est pas la realité.

Source: http://medicinaespiritualidade.blogspot.com
Auteur: Ricardo Di Bernardi
Traduction: Cleone Rois Teodoro



Dr Ricardo Di Bernardi est un pédiatre et homéopathe. Il est président de l'Institut de la culture spiritualiste de Santa Catarina à Florianópolis, au Brésil. Il est un conférencier international avec plusieurs livres publiés.
Instituto de Cultura Espirita DE FLORIANÓPOLIS www.icefaovivo.com.br
Email - rhdb11@terra.com.br